Parigot code-sauce QR. Antoine explique : «Il y a 2 mois, à l’agence Fiducial d’expertise comptable à Avallon je rentre dans le bureau de la responsable du social. Je remarque qu’il fait 27 degrés. Je dis à la dame que c’est beaucoup. Elle me dit que non. Une semaine plus tard, je repasse. Elle est en arrêt maladie pour gastro. Elle est remplacée par une autre dame. La semaine dernière, la première dame était toujours en arrêt gastro. La seconde était aussi en arrêt et remplacée. Vu qu’elles s’occupent des documents sociaux, faire un arrêt maladie leur est facile. La chef me dit qu’elle ne peut rien faire. Elle attend juste les logiciels d’intelligence artificielle qui vont lui permettre de se passer de 30 à 50% de ses huit collaboratrices. Un ordinateur et un logiciel, ça ne se met pas en arrêt maladie…» Klaus Schwab se barre : remplacé par un ordinateur ?

A ne pas rater :

https://en.wikipedia.org/wiki/Anger_Management_(film)

Allez, un peu de vaseline :

5 réflexions sur « Parigot code-sauce QR. Antoine explique : «Il y a 2 mois, à l’agence Fiducial d’expertise comptable à Avallon je rentre dans le bureau de la responsable du social. Je remarque qu’il fait 27 degrés. Je dis à la dame que c’est beaucoup. Elle me dit que non. Une semaine plus tard, je repasse. Elle est en arrêt maladie pour gastro. Elle est remplacée par une autre dame. La semaine dernière, la première dame était toujours en arrêt gastro. La seconde était aussi en arrêt et remplacée. Vu qu’elles s’occupent des documents sociaux, faire un arrêt maladie leur est facile. La chef me dit qu’elle ne peut rien faire. Elle attend juste les logiciels d’intelligence artificielle qui vont lui permettre de se passer de 30 à 50% de ses huit collaboratrices. Un ordinateur et un logiciel, ça ne se met pas en arrêt maladie…» Klaus Schwab se barre : remplacé par un ordinateur ? »

  1. On ne sort pas de cette matrice « en sortant dans la rue « , on ne peut en sortir que  » les pieds devant » !

    quant à l’épicurisme noble , non le « vulgaire » il devient difficile à mettre en oeuvre même pour les prétendues »classes moyennes » ! alors pour les gueux ! le prolo , il reste les poubelles du babylon system en se prosternant devant SEMIRAMIS ! mais que le petit bourgeois se rassure, la « grande fosse commune » qui leur est réservée est déjà creusée et en service 24 heures sur 24! 7 jours sur 7! !

    les plaisirs naturels et nécessaires (manger quand on a faim, boire quand on a soif…) : ces plaisirs sont les meilleurs !
    – les plaisirs naturels et non nécessaires (boire et manger avec raffinement ou au-delà du besoin) : ces plaisirs ne sont pas mauvais en soi s’ils sont consommés avec modération.
    – les plaisirs non naturels et non nécessaires (l’ambition, l’amour des richesses et des honneurs) : ils naissent de mauvaises représentations comme l’envie de varier ou le souci de plaire et de dominer. A éviter absolument car facteurs de trouble !

    rions un peu avec notre cher MICHEL dans ce monde de brutes! :

    Il paraît que la crise rend les riches plus riches et les pauvres plus pauvres. Je ne vois pas en quoi c’est une crise. Depuis que je suis petit, c’est comme ça.

    Dieu a dit : « Je partage en deux, les riches auront de la nourriture, les pauvres de l’appétit. »

    Quand je vois un pauvre qui va voter, c’est comme si je voyais un crocodile entrer chez un maroquinier.

    En France, on est toujours en train de voter. Et quand on vote pas, ils nous sondent… non, avec des journaux. Remarquez, le résultat est le même : on l’a un peu dans le cul.

    est -ce triste ? pessimiste ? non simplement …réaliste !

    Nous sommes des enfants de la mort. C’est elle qui nous délivre des fourberies de l’existence. Des profondeurs mêmes de la vie, c’est elle qui crie vers nous et si, trop jeunes encore pour comprendre le langage des hommes, il nous arrive parfois d’interrompre nos jeux, c’est que nous venons d’entendre son appel…

    Je ne tenais plus à savoir si Dieu existe réellement ou s’il a été créé à leur propre image par les seigneurs de la terre, soucieux de conserver leurs prérogatives sacrées, afin de piller plus aisément leurs sujets -projection dans les cieux d’un état de choses terrestres. Je sentais alors combien religion, foi, croyance, sont choses fragiles et puériles en face de la mort. Autant de hochets à l’usage des heureux et des bien-portants. En regard de la terrible réalité de la mort et des affres que je traversais, ce qu’on m’avait enseigné sur les rétributions réservées à l’âme dans l’au-delà et sur le jour du Jugement m’apparaissait comme un leurre insipide. Les prières que l’on m’avait apprises étaient inefficaces devant la peur de mourir.

    Certains pouvoirs aveugles et effrayants nous dominent ; il y a des hommes dont une étoile néfaste dirige le destin, ils se brisent sous son poids et veulent être brisés…
    Je n’ai plus aucun souhait ni aucune rancune ; j’ai perdu ce qu’il y avait d’humain en moi, je l’ai laissé se perdre. Dans la vie on devient ange, homme ou animal ; je n’ai été rien de tout cela. Mon existence s’est perdue pour toujours ; je suis né égoïste, maladroit, malheureux et, à
    présent, il est impossible que je retourne et prenne une autre voie.

    La vie joue des tours à l’homme : elle est en soi déjà un mauvais tour, puisque personne n’a demandé à vivre. On se trouve ainsi brusquement projeté sur une planète où rien n’a été prévu pour vous accueillir. Ensuite la vie vous joue le tour de faire croire qu’elle est bonne. Et les jours se suivent, longs et interminables, chargés de surprises le plus souvent mauvaises : on s’épuise en efforts vains, on croit avoir atteint le but alors qu’on est toujours au point de départ. Trop indéfinie est la route, trop brève est la vie.

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  2. Dressage…

    Depuis l’escroquerie du Covid mon monoprix de Banlieue a les caisses automatiques (souvent seules caisses ouvertes). Voici un an qu’a été rajouté -après cette zone de caisses- un portillon, qui s’ouvre à lecture d’un code barre imprimé sur le du ticket de caisse… Sans code barre on reste donc coincé.

    Personnellement, quand j’utilise les caisses automatiques (souvent les seules disponibles), je ressors « par derrière »: faisant le chemin inverse je contourne par le côté, pour éviter d’avoir à scanner quoi que ce soit. Au grand damn de la « contrôleuse » qui me rappelle à l’ordre systématiquement et à qui je réponds à la Bartleby  »vraiment non, merci, je préfère ne pas passer par là« . 

    Or voici deux ou trois semaines que le portillon est GRAND OUVERT (il est sans doute HS …). En pratique, donc, tout le monde peut passer sans scanner… Et qu’observons-nous ? 90% des clients sont si habitués à scanner qu’ils le font même quand la voie est libre !!!!! 

    C’est mort. 

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