Bardella (qui est vraiment italo-algérien, je croyais que c’était une blague ER…) commence à rétropédaler, sentant qu’il ne pourra rien faire dans le festival de chaos estival qui s’annonce. On ne voit pas comment l’extrême-droite-peste-brune-néo-fascisme-etc., avec moins d’un électeur sur trois, soit un froncé sur sept dans son escarcelle, pourrait jouer au mage Svengali au pays des hypnotisés et des anesthésiés. Ce sera le bordel las dans la rue ou le chaos debout, en attendant une reprise en main par Fink et les marchés financiers et une mise sous tutelle de l’Etat-providence par les fous de Bruxelles. On comprend mieux la prudence matoise de Meloni (elle a vu et compris le parrain I et II…) qui au lieu de jouer au souverainiste négocie un soutien à une Leyen fragilisée par les affaires. Le destin de la démocratie française n’est pas de finir en despotisme éclairé (Debord). France, terre du fiasco récurrent (Douglas Reed).

Enfant unique, il est le fils d’un patron de PME spécialisée dans les distributeurs automatiques de boissons3, Olivier Bardella, né en 1968 à Montreuil4 en Seine-Saint-Denis, d’origine italienne et franco-algérienne, et d’une agente territoriale spécialisée des écoles maternelles (ATSEM), Luisa Bertelli-Mota5,6,7, née en 1962 à Turin4, d’origine italienne8,9. Il a les trois quarts de ses racines en Italie10.

Sa famille maternelle a quitté le triangle industriel italien dans les années 196011.

Selon Jean-Louis Beaucarnot et le quotidien Le Monde, sa grand-mère paternelle, Réjane Mada, est la fille d’un Algérien de Kabylie, Mohand Seghir Mada, venu en France dans les années 1930 pour travailler comme manœuvre dans le bâtiment à Villeurbanne, et de son épouse, Denise Annette Jaeck, une Parisienne d’origine alsaciennee,13,4.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jordan_Bardella

https://echelledejacob.blogspot.com/2024/06/les-traders-prets-depecer-la-france.html

https://lesakerfrancophone.fr/maupassant-et-la-politique-moderne-maintenant-quils-savent-lire-et-ecrire-la-betise-latente-se-degage

Douglas Reed, p. 605, sur Suez-1956 :

Des trois parties concernées, Israël n’avait rien à perdre et beaucoup à gagner: la réprobation instantanée du monde fut déviée d’Israël quand l’Angleterre et la France accoururent pour arracher la cape de l’agresseur et gagner sa guerre ; on laissa Israël au cœur du territoire égyptien, acclamant sa « conquête ». La France n’avait pas plus à perdre, malheureusement, que la dame dans la chanson de soldat qui « avait encore oublié son nom » : par sa révolution, la France restait la terre du fiasco récurrent, à jamais incapable de se relever de l’abattement spirituel où elle se trouvait. Pendant 160 ans, elle essaya toutes les formes de gouvernement humainement imaginables et ne trouva de revigoration et de nouvelle assurance dans aucune… …un comique américain dit un jour qu’il allait à Londres pour voir la relève de la garde et à Paris pour voir la relève du gouvernement. Un pays rendu incapable, par une série de gouvernements corrompus, de résister à l’envahisseur allemand sur son propre sol en 1940, envahit le sol égyptien en 1956 au service d’Israël. Mais ce n’était qu’un épisode dans la triste histoire de la France depuis 1789, et cela ne pouvait guère affecter son avenir.

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