Les vingt premières minutes :
https://echelledejacob.blogspot.com/2024/06/vivons-nous-les-dernieres-semaines.html
• Le G7, sorte de bureau exécutif de l’Occident collectif, s’est réuni du 13 au 15 juin en Italie. Il devait annoncer des mesures fortes en faveur de l’Ukraine et contre la Russie. Mais tous ses chefs d’État et de gouvernement sont en grave difficulté électorale, à l’exception de l’Italienne Giorgia Meloni. Le G7 n’étant plus ce qu’il était, ses décisions ont été limitées à un prêt de 50 milliards de dollars à Kiev, sans que l’on sache qui l’avancera.
L’Allemagne, la France et l’Italie comptent sur les États-Unis, d’autant plus que la Hongrie prend, le 1° juillet, la présidence du Conseil de l’Union européenne. Or, Budapest est opposé à cette guerre. L’UE sera donc paralysée tout le semestre prochain. L’Ukraine n’avait donc que quelques jours pour signer avec l’UE. Sans attendre, Charles Fries, un haut fonctionnaire français auprès du haut représentant de l’UE pour la Politique étrangère et de Sécurité a rédigé le brouillon d’un accord entre Bruxelles et Kiev.
Dans sa déclaration finale, le G7 affirme : « Nous réaffirmons notre soutien indéfectible à l’Ukraine, aussi longtemps qu’il le faudra. Avec nos partenaires internationaux, nous sommes déterminés à continuer à fournir des ressources militaires, budgétaires, humanitaires et financières à l’Ukraine et à son peuple… »
• À peine fini le G7, ses membres se précipitaient en Suisse pour un sommet sur la paix en Ukraine, auquel la Russie n’était pas invitée. Mais Vladimir Poutine avait fait connaître la proposition de paix de Moscou : reconnaissance des référendums d’adhésion de la Crimée, du Donbass et de la Novorossia (sans l’oblast d’Odessa) et renoncement de l’adhésion à l’Otan contre un arrêt immédiat des hostilités.
L’Ukraine et les États-Unis avaient invité 160 États sur les 192 de l’Onu. 91 seulement avaient accepté d’y participer. Mais 75 uniquement ont accepté de signer l’insipide déclaration finale.
La Suisse, qui l’hôte de ce sommet, a annoncé qu’une seconde réunion serait convoquée, mais pas en Occident. Elle se fondera sur la proposition sino-brésilienne et intégrera la Russie.
Les membres du G7 ont beau brocarder la Russie et la Chine, l’influence de Washington et de Londres sur le reste du monde a fondu comme neige au soleil…
En d’autres termes, si les FDI attaquent le Liban, le Hezbollah détruira le Dôme de fer, c’est-à-dire la protection anti-aérienne israélienne. Il pourra faire pleuvoir une grande quantité de roquettes et de missiles sur son ennemi. Le Hamas pourra aussi reprendre ses tirs de roquettes qui, cette fois, ne pourront plus être interceptées et atteindront leurs cibles. Ansar Allah a confirmé qu’il lancera simultanément des missiles balistiques sur Israël et les milices chiites iraquiennes ont également confirmé qu’elles se joindront à la guerre.
(…)
L’annonce de l’attaque israélienne contre le Liban n’est probablement qu’un moyen pour Benjamin Netanyahu, Premier ministre israélien, de faire pression sur Washington. Il est peu probable qu’Israël va se suicider, même si Netanyahu est le fils de Benzion Netanyahu, secrétaire particulier du fasciste Vladimir Jabotinsky. Il espère probablement que l’administration Biden sauvera momentanément Israël et qu’elle acceptera qu’il reprenne son nettoyage ethnique de la Palestine.
Quelle que soit la prochaine étape, l’Occident a perdu son aura et son pouvoir sur le reste du monde. Après cinq siècles de domination occidentale, le monde change d’ère.
https://www.voltairenet.org/article221069.html
<<Le fait est, en ce qui me concerne, que l’islam, religion
monothéiste qui se focalise sur un « objet de vénération » ne
vaut pas mieux que le christianisme ou le judaïsme.
Historiquement parlant, tous les trois ont toujours été des
cultes abominablement violents et sanglants. Ce qui se passe
actuellement au Moyen-Orient, ce conflit qui menace de faire
sauter la planète tout entière (et si vous ne pensez pas que c’est
bien le cas, alors c’est que vous n’avez pas été attentifs !), n’est
pas autre chose que le prolongement de cette absurdité
cultuelle commencée il y a plus de deux mille ans.
La foi qui peut faire « déplacer des montagnes » est
encouragée par les cultes ou religions monothéistes standard,
comme étant la chose que le « fidèle » doit nécessairement
cultiver s’il veut recevoir les bienfaits promis par sa hiérarchie.
L’exemple d’Abraham prêt à sacrifier son fils Isaac a
été cité un nombre incalculable de fois depuis des âges comme
étant le modèle suprême du rapprochement avec la « divinité ».
Il faut être prêt à donner tout et n’importe quoi à cette divinité !
La foi est un article essentiel du « pacte » conclu avec la
divinité, une sorte de contrat commercial si l’on peut dire.
Le récit du presque sacrifice d’Abraham dans la Bible
est en fait pratiquement identique au récit védique de Manou.
Ces actes de sacrifice sont basés sur le sraddha, terme qui se
rapporte aux mots fides, credo, faith, foi, etc.
D’après les historiens des religions DUMÉZIL et LÉVI,
le mot sraddha a été trop vite traduit par « foi » dans le sens
chrétien du terme. En fait, il qualifie quelque chose comme la
confiance que met l’artisan dans ses outils pour former ou créer
de la réalité; et en fait d’outils, les techniques de sacrifice sont
semblables à des actes de magie !
Dès lors, une « foi » de cette sorte fait partie d’un «
pacte » dans lequel le sacrificateur sait comment accomplir
correctement un sacrifice; il sait aussi que si le sacrifice est
accompli correctement il doit produire des effets.
Bref, c’est un acte destiné à obtenir le contrôle des
forces de la vie qui résident dans la divinité avec laquelle le
pacte a été conclu.
Ces divinités qui font des pactes ne sont pas des «
ornements littéraires » ou des abstractions. Ce sont des
partenaires actifs dotés d’intelligence, de force, de passion, et
d’une tendance à devenir incontrôlables si les sacrifices ne
sont pas accomplis correctement. En ce sens, le sacrifice – la «
foi » – est tout simplement de la magie noire.
Dans un autre sens, l’ascète ou auto-sacrificateur, est
une personne qui s’efforce de se libérer des lois et liens de la
Nature par des actes de mortification de soi, de la chair; il met
à l’épreuve et renforce sa volonté de conquérir des puissances
tyranniques tout en étant encore de ce monde. Mais ici aussi
nous voyons que par le sacrifice de soi, il ou elle cherche à
obtenir la maîtrise de divinités. Cela est en fait de la
manipulation et de la coercition extrêmement subtiles destinées
à faire considérer la « foi » comme un moyen d’obtenir le salut.
Ce qui fait penser qu’il en va bien ainsi, c’est que ce
sont en général des individus «privés de droits» ou qui se
sentent désemparés devant les forces de la vie – que celles-ci se
manifestent au travers d’autres personnes ou d’événements au
hasard – qui sont le plus susceptible de rechercher cette foi, ce
pacte avec une divinité. Ils ressentent leur propre incapacité à
avoir un effet sur le monde, et tournent leur créativité vers
l’intérieur pour créer et conserver leur «foi» subjective en
opposition avec la réalité objective.
Ce qu’il est crucial de comprendre ici c’est que les
fondamentalistes de tout poil abandonnent en fait leur volonté
en échange de bienfaits promis. Ce libre-arbitre est leur propre
puissance de créativité, leur propre possibilité de croissance et
de développement, qui ne peut être commuée et s’étendre dans
un processus d’incertitude, en prenant des risques, et en faisant
des échanges libres et de plein gré avec d’autres qui n’incluent
ni domination ni manipulation.
« L’absolue certitude » des fondamentalistes les
enferme dans l’entropie, et leur énergie créatrice s’en va
nourrir un vaste système d’illusions. Ces systèmes sont la
création et la conservation des idoles qu’ils vénèrent. Tel le
schizophrène paranoïaque, ils inventent des systèmes baroques
et ingénieux de perception et affirment qu’ils sont « donnés par
dieu ». Ils dépensent ensuite des quantités énormes d’énergie, «
ajustant » toutes les impressions qui vont à l’encontre de leur
système d’illusion.
Une autre facette de « l’Homme qui doit avoir Raison »
et qui se manifeste dans les croyances religieuses est que les
fondamentalistes méprisent ceux qui ne partagent pas leur foi.
Il s’agit, à la racine, d’un système « Nous vs. Eux » qui
concentre de manière si rigide des préjugés inébranlables sur
des « bénéfices futurs » que leurs adhérents perdent tout
simplement la conscience de l’ici et maintenant. Les
fondamentalistes s’intéressent plus aux dogmes qu’aux actions
du moment. Il est pour eux extrêmement important de faire en
sorte que leurs prochains croient à leurs illusions afin que leur
légitimité soit confirmée, même si en surface ils affirment que
« tout le monde a le droit d’avoir sa propre opinion ». Le fait
est qu’ils sont incapables de tolérer aucune opinion différente
de la leur, parce qu’elle menacerait leur « vérité ».
Cette légitimité doit être maintenue à tout prix parce
que, tout au fond de lui-même « l’homme (ou la femme) qui a
raison» combat en général l’horreur de sa propre impuissance.
Leur droiture est une digue qui retient leurs pires craintes:
qu’ils sont en fait perdus et seuls, qu’il n’y a en réalité pas de
divinité, car comment pourrait-il y avoir un dieu qui les aime
alors qu’ils passent par tant de souffrances ? Leur impossibilité
de se sentir vraiment aimés et acceptés est comme un
cauchemar dont ils ne parviennent pas à s’éveiller.
La Foi. Voilà sur quoi s’appuie un « leader
charismatique » pour engager ses adeptes à la violence contre
d’autres êtres humains.
Cette foi peut être induite par des manipulations et
promesses de récompenses paradisiaques ou autres, cette
« légitimité » des vues, de son dieu et de ce que ce dieu est
supposé révéler au leader; et cela peut ensuite être utilisé pour
manipuler d’autres personnes.
Il semble donc que l’obligation d’une foi et d’une
vénération pour des sujets cultuels tels Allah, Jéhovah, Jésus,
ou Yahvé soit le moyen par lequel les êtres humains peuvent
être amenés à commettre des atrocités sur d’autres êtres
humains.
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<<Apparemment, Carlos n’a pas lu Shamanism de M.
ELIADE, ni Passport to Magonia de J. VALLÉE. Ces ouvrages
sont remplis de références historiques et anciennes aux êtres
que Don Juan appelle des « volants».
Don Juan dit à Carlos :
« Le mental des volants ne t’a pas quitté. Il a été
sérieusement blessé. Il est en train de faire un maximum pour
essayer de renouer sa relation avec toi. Mais quelque chose en
toi a disparu à jamais. Le volant sait cela. Le vrai danger est
que le mental du volant parvienne à gagner en te fatigant et en
te forçant ainsi à abandonner, en faisant jouer les contradictions
entre ce qu’il dit et ce que je dis moi. »
« Vois-tu, le mental des volants n’a pas de concurrents.
Quand il propose quelque chose, il est d’accord avec sa propre
proposition, ce qui te fait croire que tu as accompli quelque
chose de valable. Le mental du volant te dira que tout ce que je
te dis est pur non-sens, et puis le même mental acquiescera à sa
propre proposition. Voilà la manière dont ils triomphent de
nous. »
« Les volants sont une partie essentielle de l’univers et
il faut les prendre comme ils sont vraiment : terribles,
monstrueux. Ils sont les moyens mis en place par l’univers
pour nous mettre à l’épreuve. »
« Nous sommes des sondes énergétiques créées par
l’univers et c’est parce que nous possédons de l’énergie dotée
d’une conscience que nous sommes les moyens par lesquels
l’univers devient conscient de lui-même. Les volants sont des
challengers implacables. Si nous réussissons, l’univers nous
permet de continuer. »
…J’aurais en fait voulu rentrer immédiatement chez
moi […] mais avant d’atteindre sa maison, Don Juan s’assit sur
un haut rebord surplombant la vallée. Pendant un moment il ne
dit rien. Il n’était pas hors d’haleine. Je n’avais aucune idée de
la raison pour laquelle il s’était arrêté pour s’asseoir.
« Pour toi » , dit-il ex abrupto d’un ton prophétique, «
la tâche du jour est l’une des choses les plus mystérieuses en
sorcellerie ; quelque chose au-delà du langage, au-delà des
explications. …Alors, soutiens-toi en t’appuyant contre ce mur
de rocher, aussi loin que possible du bord. Je serai près de toi
au cas où tu t’évanouirais ou si tu tombais. …Croise les jambes
et entre dans le silence intérieur, mais ne tombe pas endormi ».
Il me fut assez difficile d’entrer dans le silence intérieur
sans tomber endormi. Je luttai contre une terrible envie de
dormir. J’y réussis, et me retrouvai en train de regarder le fond
de la vallée alors que j’étais entouré d’une obscurité épaisse. Et
puis, je vis quelque chose qui me glaça jusqu’à la moelle des
os. Je vis une ombre gigantesque, d’environ 4m50 d’envergure,
sauter dans les airs et retomber avec un choc silencieux. Je
ressentis le choc dans mes os, mais je ne l’entendis pas.
« Ils sont vraiment très lourds » , me glissa Don Juan à
l’oreille. Il me tenait le bras gauche, aussi fort qu’il le pouvait.
Je vis quelque chose qui ressemblait à une ombre
boueuse se tortiller sur le sol, puis faire encore un bond
gigantesque en longueur, de peut-être 15m, et retomber avec ce
même choc silencieux. Je devais lutter pour ne pas perdre ma
concentration. J’étais effrayé de manière indescriptible. Je
gardai mes yeux fixés sur l’ombre bondissante au fond de la
vallée. Puis j’entendis un bourdonnement très particulier, un
mélange de bruit d’ailes et de bourdonnement d’une radio dont
on essaierait d’ajuster la fréquence pour atteindre une station
émettrice ; et le choc sourd qui suivit fut inoubliable Il nous
secoua jusqu’aux os Don Juan et moi – une gigantesque ombre
boueuse venait d’atterrir à nos pieds.
« N’aie pas peur », dit impérieusement Don Juan. «
Garde ton silence intérieur et elle partira ».
Je tremblais de la tête aux pieds. Je savais très
clairement que si je ne gardais pas présent mon silence
intérieur, alors l’ombre boueuse s’étendrait sur moi comme une
couverture et me suffoquerait. Sans perdre de vue l’obscurité
qui m’entourait, je criai le plus fort que je pus. Jamais je ne
m’étais senti autant en colère, si totalement frustré. L’ombre
boueuse fit un autre saut, manifestement vers le fond de la
vallée. Je continuai à crier en secouant mes jambes. Je voulais
me débarrasser de ce qui pourrait venir pour me manger .
Carlos écrit :
Le prédateur décrit par Don Juan n’était pas quelque
chose de bienveillant. Il était énormément pesant, rude,
indifférent. J’ai ressenti du mépris à notre égard. Il nous avait
indubitablement écrasés il y a très longtemps, en nous rendant,
comme l’a dit Don Juan, faibles, vulnérables et dociles. J’ai
éprouvé de la colère, une intention très ferme de ne pas les
laisser me manger. J’ai pleuré pour mes semblables…
(CASTANEDA, 1998)
vous
comprenez maintenant que nommer (humainement parlant) «
conspiration » ce qui se passe actuellement sur notre planète,
c’est grandement simplifier le problème. Ce que nous voyons
comme une « conspiration » est simplement la manifestation
naturelle de la réalité sous-jacente. Très peu de gens font
consciemment partie du plan ; la plupart d’entre nous se
contentent de vivre leur vie d’une façon mécanique,
automatique, pièces d’une grande « machine » dont nous ne
sommes nullement conscients.
Pendant mes recherches dans des centaines de
domaines d’étude, la chose essentielle qui m’est apparue est
que l’humanité se trouve dans les griffes d’acier d’un système
de contrôle indifférent, qui l’éduque et la garde « plus bas que
terre » pour ses propres desseins. Aucun groupe, aucune
nationalité, aucune société secrète ni religion n’y échappe.>>
Les informations que nous avons rassemblées suggèrent
qu’il y a une raison à l’état actuel des choses : la nature
cyclique de ces événements, que la vie organique sur Terre est
un transmetteur d’énergie qui alimente le cosmos ; que ce que
nous observons dans la nature – qu’il existe une chaîne
alimentaire – est quelque chose qui existe à tous les niveaux, et
nous ne sommes pas au sommet !
Nous avons aussi l’idée qu’il nous est possible de sauter
en bas de ce train avant qu’il ne déraille. C’est une idée
effrayante et lointaine pour la plupart d’entre nous à cause de
cette Matrice que nous sommes en train d’examiner et dont
nous pensons qu’elle n’est pas aussi solide qu’elle ne l’a été
présenté à l’humanité depuis des millénaires.
Dans la série Adventures with the Cassiopaeans [6], j’ai
pris conscience de l’importante question des psychopathes.
Ceux d’entre vous qui ont lu cette série se souviennent peutêtre de l’exposé long et méticuleux des faits, données et
observations qui ont conduit aux remarques qui suivent :
Et nous constatons que le but ultime des psychopathes
en tant que représentants vivants de la hiérarchie de Non-Être,
est de maîtriser l’énergie créatrice. De l’assimiler pour soi,
pour en priver les autres en leur faisant croire des mensonges.
Parce que quand on croit aux mensonges des psychopathes on
leur remet le contrôle de son propre Libre Arbitre – essence de
la créativité.
L’entité planétaire est le point focal d’une densité
spécifique d’interaction mental/corps. À certains moments ou «
croisements » cosmiques une entité planétaire de ce genre peut
avoir été programmée pour se polariser vers une densité
supérieure. La hiérarchie Négative voit cela comme le «
moment venu » pour que cette polarisation se fasse
négativement de sorte que l’entité planétaire participe
pleinement de la réalité négative de 4e
densité, et non de la
réalité positive. Les êtres polarisés négativement ont besoin
d’une base planétaire polarisée négativement à partir de
laquelle ils puissent fonctionner, tout comme les êtres de
densité supérieure polarisée positivement ont besoin de bases
planétaires polarisée positivement.
Toujours la maxime hermétique : Économie d’énergie
de lumière en haut, et économie de contrôle du mental et de la
volonté en bas. Ils veulent utiliser la propre énergie créatrice de
l’humanité pour « verrouiller » notre planète sous leur
domination.
Ce que nous observons en ce moment sur notre
planète : ressources en diminution, bombardements d’UV
intensifiés dans notre atmosphère, etc. ne sont PAS « des effets
secondaires malheureux mais inévitables de l’industrialisation
» : cela fait partie de l’effort délibéré mais caché de la
hiérarchie négative de préparer la composition biochimique et
électrique de cette planète à une polarisation négative.
Il existe bien des « planètes du mal » et des étoiles
sombres. Et la vraie question du moment est celle-ci : est-ce
que notre Mère Terre est sur le point d’en devenir une ?
La vie organique sur la Terre sert de «station de
transmission ». En tant que transmetteur, au temps de la
Transition, comme pour la dépression sur une onde quantique,
ce qui est en train d’être « transmis/observé » détermine la «
mesure ». Il y a approximativement 6 milliards d’êtres humains
sur cette planète en ce moment de transition, et la plupart
contribuent à la transmission quantitative. Mais ce qui manque,
c’est la vibration de fréquence de réponse qualitative qui
pourra créer le modèle du nouveau monde.
La qualité de l’humanité a peu changé au cours des
derniers millénaires. La plupart des êtres humains sont toujours
mus par la peur, la faim, et le sexe, dans des états de misère et
de chaos. La machine à désinformer de la Matrice a fonctionné
à plein pour conserver intacte cette situation, et ce avec grand
succès. Le non-sens propagé comme « Ascension » en est la
preuve évidente. C’est parce que la hiérarchie négative travaille
depuis des millénaires à élaborer le système de contrôle de
manière à ce que au « bon moment » de la transition, en
utilisant l’énorme dégagement d’énergie en provenance
d’innombrables êtres humains sur la planète, ils puissent
induire cette polarisation de manière à ce qu’elle se fasse
négativement.>>
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Ce que nous voyons
comme une « conspiration » est simplement la manifestation
naturelle de la réalité sous-jacente. Très peu de gens font
consciemment partie du plan ; la plupart d’entre nous se
contentent de vivre leur vie d’une façon mécanique,
automatique, pièces d’une grande « machine » dont nous ne
sommes nullement conscients.
Pendant mes recherches dans des centaines de
domaines d’étude, la chose essentielle qui m’est apparue est
que l’humanité se trouve dans les griffes d’acier d’un système
de contrôle indifférent, qui l’éduque et la garde « plus bas que
terre » pour ses propres desseins. Aucun groupe, aucune
nationalité, aucune société secrète ni religion n’y échappe…
Et nous constatons que le but ultime des psychopathes
en tant que représentants vivants de la hiérarchie de Non-Être,
est de maîtriser l’énergie créatrice. De l’assimiler pour soi,
pour en priver les autres en leur faisant croire des mensonges.
Parce que quand on croit aux mensonges des psychopathes on
leur remet le contrôle de son propre Libre Arbitre – essence de
la créativité.
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Good evening everybody,
ça fait un moment que je n’écris plus ici chez vous…ça joue? À la suisse…
Bon, concernant le peuple élu, c’est clair comme l’eau, en 2026 on arrive à la fin du cycle de 81 ans de lamentations, 1945-2026, il faut bien trouver des peuples qui paient puisque tout leur est dú…Et bien ils vont « israeliser »* l’Ukraine, ce qui va rester de l’Ukraine…les russes laisseront Odessa, à New York le quartier juif est little Odessa…on ne peut pas tout avoir quand même…
Toute cette stratégie tragicomique est préparée depuis la fin du siècle passé, mais les rabbis-barbus vont faire en sorte de la faire passer pour une prophétie vétérotestamentaire. Vous savez très bien que l’ancien testament sur lequel les gentils élus dans les pays demogogiques doivent jurer avant de s’asseoir dans les knesset, c’est le manuel de guerre par excellence.
Toutefois je vais rester sur une note optimiste et citer le boss de Alibaba (et les 40 voleurs): ceux qui veulent rester pauvres et cons, c’est parce que ils sont cons et vont rester pauvres…il suffit d’étudier la mystique(la bête) du peuple élu et la chevaucher, dixit J. Evola. La battre c’est impossible…mais on peut la fatiguer…Elle sera obligé de trouver un autre terrain…
Ça toujours été ainsi et ça va être encore une fois ainsi…
Allez everybody
OdisseO
*israeliser: passer à côté de quelque chose, s’en appropier et ne plus la rendre…
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