Les russes commencent à souffrir (même les prorusses le reconnaissent enfin) ; dommage qu’ils n’aient pas lu les recueils patriotiques de Tetyana, car des siècles de souffrances, d’humiliations et de ressentiments ukrainiens ne demandaient qu’à s’exprimer, et ce avec les bonnes vieilles armes américaines, considérées comme caduques par des « spécialistes » autoproclamés ; on applaudira la lucidité courageuse du chroniqueur du Grand Jeu ou de Paul Craig Roberts qui nous ont prévenus dès le début. Chroniqueur déçu moi-même pour fr.sputniknews.com ou pour Pravda.ru, je n’ai de leçon à recevoir de personne, surtout pas des apprentis russes blancs qui n’étaient là ni en 1917 ni en 1941 pour sauver l’amère patrie. Les tchétchènes, les fournisseurs nord-coréens ou les iraniens ne changeront rien à une affaire mal engagée – pour nous les couillons de l’Europe comme pour les russes, dont turcs et chinois guettent les dépouilles. Davos et Washington exultent : Guerre = Reset (disait Orwell).

La contre-offensive n’est pas Ukro, elle est OTAN. Et donc différente

Is Putin’s Goody Two Shoes Behavior with his “Limited Operation” Blowing up in his face?

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