« Nous sommes dans la gueule de la bête de l’Apocalypse. Celle-ci trône fièrement à New York maintenant face à une population hébétée depuis un certain 11 septembre. C’est le moment de rappeler aux moins aveugles ce qui se passe, même si leur nombre semble réduit… » 1000 exemplaires vendus de ce recueil un record. Macron promu trois fois par Raffarin, vaccin obligatoire tous les six mois pour Braun. Froncé prostré ou euphorique. Toujours sans ordi un plaisir.

Nous sommes dans la gueule de la bête de l’Apocalypse. Celle-ci trône fièrement à New York maintenant face à une population hébétée depuis un certain 11 septembre. C’est le moment de rappeler aux moins aveugles ce qui se passe, même si leur nombre semble réduit.
Résumons-nous. Nous assistons à l’imposition d’un ordre nouveau globalisé bâti sur la tyrannie étatique, informatique (quelques boîtes sorties du pentagone et du Deep State US, et devenues énormes) et médiatique. Cet ordre nous prive de libertés, de soins, de médicaments, de maisons, de voitures et même de courant. Il a un culte-prétexte (la terre, le climat), un clergé (les milliardaires, les journalistes, les experts), des bourreaux volontaires (la police et les fonctionnaires de chaque pays, pas encore bien réveillés) et des boucs émissaires et parias ; n’oublions pas non plus le troupeau tranquille de moutons dénoncé par tant d’écrivains (Debord, Bernanos, Tocqueville, Nietzsche). Il est sans pitié et se sert de l’abrutissement généralisé et généré par les médias et les styles de vie matérialistes occidentaux pour s’imposer partout avec l’appui inconditionné (désolé de le dire) des gauchistes et de la social-démocratie. De ce point de vue il couvre l’étendard de l’extraordinaire capacité hallucinatoire des occidentaux, dont nous avons parlé maintes fois en citant et reprenant René Guénon.
En tant que projet apocalyptique, le nouvel ordre mondial est vieux comme le monde moderne, matérialiste, marchand et unificateur. Ce qui le rend possible aujourd’hui c’est la mondialisation terminale justement, les réseaux technognostiques (déjà soulignés au dix-neuvième siècle par Nerval, Gougenot des Mousseaux ou Monseigneur Gaume), le catéchisme humanitaire et écologique et la fabrication de ce virus médical-médiatique, héritier de dix vaines tentatives, et qui a balayé et arraché toutes les résistances. Ce qui n’a pu se faire à telle époque à cause des pays communistes va pouvoir se faire enfin, à la lumière des nations dites unies et d’une classe dirigiste américano-mondialiste, héritière de la société des nations et devenue toute-puissante à l’issue de la deuxième guerre mondiale et de la chute de l’empire soviétique. Elites nocives unifiées par un seul cerveau.
L’épouvante qui se profile avec l’esclavage numérique, le sacrifice de la santé, la réduction obligatoire de la consommation et le dépeuplement revendiqué par nos gentils milliardaires humanitaires (1) n’interpelle qu’une minorité éclairée qui pour l’instant n’offre rien de plus que sa perception malheureuse des bouleversements. Car les populations concernées ne sont pas seulement martyres, elles sont des moutons engagés et même parfois enragés (« tu n’es pas vacciné ? Tu es complotiste ? ») : on se retrouve coincé entre les moutons de Panurge qui n’ont rien retenu du web et de ses enseignements, et les bourreaux volontaires qui comme à d’autres époques sombres de notre histoire vont se porter volontaires pour participer au grand effacement de cette population jugée trop coûteuse.
Mais qui ne tente rien n’a rien.

Une réflexion sur « « Nous sommes dans la gueule de la bête de l’Apocalypse. Celle-ci trône fièrement à New York maintenant face à une population hébétée depuis un certain 11 septembre. C’est le moment de rappeler aux moins aveugles ce qui se passe, même si leur nombre semble réduit… » 1000 exemplaires vendus de ce recueil un record. Macron promu trois fois par Raffarin, vaccin obligatoire tous les six mois pour Braun. Froncé prostré ou euphorique. Toujours sans ordi un plaisir. »

  1. Il n’y a plus d’éspoir. Ils sont tous soumis aux phéniciens. C’est ça la verité…
    Prier, crier,, y croíre, se battre tous ensemble, vaincre? Impossible…tant que l’argent arrive à combler tous les désirs d' »impuissance », ça sera peine perdue…perdue comme cette masse qui souffre d’une idiosyncrasie du bien-être, de l’âme et du corps. Et je ne vois aucun signe, ni séigneur, qui puisse stopper cette dérive. D’ailleurs, il n’y a jamais eu…allez everybody…

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