Petits révoltes et petites réactions contre le système socialiste-mondialiste-écologiste-impérialiste qui assassine les peuples (Faye disait : « le système à tuer les peuples »). Un Français héroïque à Dublin (où les migrants –il y en a partout dans mon bled maintenant – égorgent les enfants de cinq ans sous les acclamations des médias et des progressistes, qui parlent avec les ministres de récupération, car il ne faut plus se gêner après quarante ans de mitterrandisme. Protestations contre l’Europe des commissaires nommés par les multinationales et les lobbies américains. La France est le pays qui est tombé et qui tombera toujours plus bas, allegro et troppo. Explication : la France est le pays du bourgeois produit de l’Etat. Voir mon autopsie française et voir les explications de La Fontaine par Taine. Les révolutions ne font que renforcer régulièrement l’autoritarisme de l’Etat et de ses bourgeois.

𝗟𝗘𝗦 𝗣𝗔𝗥𝗧𝗜𝗦𝗔𝗡𝗦 𝗗𝗨 𝗡𝗘𝗫𝗜𝗧 𝗚𝗔𝗚𝗡𝗘𝗡𝗧 𝗟𝗘𝗦 𝗟𝗘𝗚𝗜𝗦𝗟𝗔𝗧𝗜𝗩𝗘𝗦 𝗔 𝗟𝗔 𝗦𝗨𝗥𝗣𝗥𝗜𝗦𝗘 𝗚𝗘𝗡𝗘𝗥𝗔𝗟𝗘 (texte souverainiste sur ces élections hollandaises qui fâchent la presse).

Ce qui se passe aux Pays-Bas est l’illustration de cette citation, attribuée généralement à Victor Hugo : «Rien n’est plus fort qu’une idée dont l’heure est venue.» Il faut être totalement aveuglé par l’idéologie pour ne pas voir et comprendre que la construction européenne est entrée dans sa phase terminale. Face aux désastres sans nom qu’ils provoquent, les européistes croient trouver leur survie dans la fuite en avant démentielle si typique des empires qui s’effondrent. Aux abois devant le sol qui se dérobe sous leurs pas, ils détournent désormais des milliards d’euros, brûlent de provoquer une 3e Guerre mondiale, mentent 24h/24 sur tous les sujets, agissent en dictateurs, annoncent l’adhésion à l’UE de 7 nouveaux États gangrénés par les mafias, soutiennent des néo-nazis, veulent censurer à tour de bras toute parole dissidente…. Or cette folie arrive à son terme. De Londres à Varsovie, de Budapest à Bratislava de La Haye, à bientôt Paris, l’heure a sonné de la révolte des peuples contre les fascistes de notre temps. On notera que chaque peuple suit sa voie propre. Ainsi, le mouvement politique créé par Geert Wilders est un parti d’extrême-droite, aux connotations racistes, qui présente de ce fait des différences substantielles avec l’UPR. On notera aussi qu’il a passé des alliances avec des mouvements de droite qui refusent le Nexit. Du coup, les électeurs néerlandais risquent d’être déçus car l’on annonce déjà ce soir qu’il n’y aura sans doute pas de référendum sur la sortie des Pays-Bas de l’UE. Raison de plus, en France, pour se mobiliser derrière l’UPR. Non seulement notre parti est résolument situé au-dessus du clivage droite-gauche et fidèle aux valeurs de liberté et d’égalité de la France. Mais il n’a jamais varié d’un iota, depuis 16 ans, dans sa détermination à libérer la France et les Français des structures oppressives qui sont en train de les transformer en esclaves : l’Union européenne, l’euro et l’OTAN. Les résultats des élections législatives aux Pays-Bas nous donnent beaucoup d’espoir. Car ils montrent que les censures médiatiques, les diffamations politicardes et les sondages truqués ne font pas tout. Comme en Hongrie, en Slovaquie ou aux Pays-Bas, les électeurs français peuvent créer une immense surprise le 9 juin prochain. Et cette immense surprise pourrait bien être un score en très forte hausse pour l’UPR (NPO : le texte est bien écrit, c’est tout).

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