https://www.statista.com/chart/30671/number-of-millionaires-and-share-of-the-population/
https://lesakerfrancophone.fr/la-deconnexion-de-lelite-americaine
https://lesakerfrancophone.fr/jack-london-et-la-menace-des-oligarchies-humanitaires
https://www.statista.com/chart/30671/number-of-millionaires-and-share-of-the-population/
Le froncé est totalement con : la preuve par Christian Darlot et sa vendeuse de chemises hébétée, et par les marseillais de souche, à qui Jul allume le chaudron olympique. Céline : « Une telle connerie dépasse l’homme. Une hébétude si fantastique démasque un instinct de mort, une pesanteur au charnier, une perversion mutilante que rien ne saurait expliquer sinon que les temps sont venus, que le Diable nous appréhende, que le Destin s’accomplit ». Cruise et les QR pour les JO. Fuyez quand il est temps. Dans bêtise il y a Bête – celle de l’Apocalypse. Le populo a triomphé. 89 ! Ne vous faites pas d’illusions ; les râleurs de Twitter et You Tube représentent 1% de la population. Le reste du troupeau se range benoitement derrière le nouvel ordre mondial marqué par une explosion du nombre de milliardaires depuis vingt ans.
https://www.dedefensa.org/article/george-orwell-et-le-feminisme-autoritaire
https://www.dedefensa.org/article/lantirussisme-a-la-lumiere-de-george-orwell
https://lesakerfrancophone.fr/du-retour-de-malthus-et-du-devoir-de-depeuplement
Orwell :
« Commencez-vous à voir quelle sorte de monde nous créons ? C’est exactement l’opposé des stupides utopies hédonistes qu’avaient imaginées les anciens réformateurs. Un monde de crainte, de trahison, de tourment. Un monde d’écraseurs et d’écrasés, un monde qui, au fur et à mesure qu’il s’affinera, deviendra plus impitoyable. Le progrès dans notre monde sera le progrès vers plus de souffrance. L’ancienne civilisation prétendait être fondée sur l’amour et la justice. La nôtre est fondée sur la haine. Dans notre monde, il n’y aura pas d’autres émotions que la crainte, la rage, le triomphe et l’humiliation. Nous détruirons tout le reste, tout. »
« …ils traversaient une brève période d’explosion de beauté et de sexualité, ils se mariaient à vingt ans, ils atteignaient le milieu de leur vie à trente ans, et ils mouraient, pour la plupart, à soixante ans. Le dur labeur physique, la garde du foyer et des enfants, les querelles de voisinage, les films, le football, la bière, et, par-dessus tout, les paris, étaient leurs seuls horizons. Il n’était pas difficile de les contrôler. Quelques agents de la Police des Pensées évoluaient parmi eux, propageant de fausses rumeurs, repérant et éliminant les quelques individus qui étaient jugés capables de devenir dangereux ; mais il n’y avait aucune tentative de les endoctriner avec l’idéologie du Parti. Il n’était pas désirable que les prolos eussent une forte conscience politique… »