Code Ursula : de Big Brother à Big Mother. Ou comment la féminité apocalyptique et bureaucratique va détruire TOUT CE QUI RESTE. Chesterton vers 1920 en Amérique : « And as there can be no laws or liberties in a nursery, the extension of feminism means that there shall be no more laws or liberties in a state than there are in a nursery… » Luc Ferry : « Mme Von der Leyen est la plus grande catastrophe qui soit arrivée à l’Europe. » En Amérique sinon, mon vieil ami Maurizio Blondet explique que Trump ne gagnera pas : le Deep State, Fink-Black-Rock et les médias tous démocrates ont décidé de virer le vieux Biden pour le remplacer par le gouverneur (milliardaire, écolo, LGBTQ) californien Gavin Newsom. C’est pour cela que le débat a été organisé trois mois avant. D’autres sources évoquent « Big Mike » (Mrs Michel le Obama)…

https://en.wikipedia.org/wiki/Gavin_Newsom

Le coup d’Etat bruxellois s’est donc passé de façon cool, sans fioritures. Tout le monde l’a accepté, le fameux rebelle Orban y compris. Meyssan s’est encore trompé et on n’aura pas Draghi. On aura Ursula la hyène, avec ses vaccins, ses moustiques-Gates, ses insectes-petits-plats, sa guerre, son budget militaire à 500 milliards remixé à mille (et dire qu’on se croyait ruinés !), on aura la guerre à mort contre la Russie tôt ou tard car tout super-Etat se bâtit sur la guerre comme l’explique Donald Sutherland à Costner dans JFK, et avant lui Tocqueville ou Jouvenel (voyez mes textes ici). 27 chefs d’Etat ont voté pour une folle qu’on nous disait dotée de casseroles. La femme avenir de l’homme donnera la guerre et les insectes dans l’assiette, une prochaine combine avec les monstres pharmaceutiques américains et de beaux confinements. Mais tout le monde est content.

C’est mon ami Le Vigan qui a évoqué Big Mother. En effet elle se substitue à l’Antéchrist tyrannique la bonne femme et elle n’a pas fini de nous faire suer sous la forme Thénardier ou la forme sorcière. On les a voulues au pouvoir (Nietzsche parlait de crétins mâles), on va être servis. Et pour une pauvre et sublime Zakharova, que de rombières.

Relisons-nous alors car rien n’est nouveau sous le sommeil surtout en occident, ce côté de l’obscurité comme dit Guénon. Car il va falloir le juger lui et son bilan cet occident.

Il y a quelques années j’écrivais ici-même inspiré par Chesterton :

« Autoritaire et humanitaire, Angela Merkel incarne le péril féministe ; voyez L’Express qui évoqua dans une manchette débile ces femmes qui sauvent le monde. En réalité si nous avions eu Hillary Clinton au pouvoir, nous aurions déjà la guerre mondiale. Merkel incarne l’esprit de la nursery décrit en 1921 par Chesterton lors de son voyage en Amérique. Pour Chesterton la féministe (la fasciste ou la bolchéviste au féminin) considère le citoyen comme un enfant, pas comme un citoyen :

And as there can be no laws or liberties in a nursery, the extension of feminism means that there shall be no more laws or liberties in a state than there are in a nursery.

Le monde comme nursery. La trique dans une main, les rares sucreries dans l’autre. Les peuples en Europe sont en effet toujours traités comme des enfants, et menacés s’ils se montrent récalcitrants. Les arguments des élites reproduisent en continu cet autoritaire schéma matriarcal.

Lagarde est là pour financer l’Ukraine, Ivanka pour inspirer la guerre, Merkel la soumission et le TTIP, Theresa May les retrouvailles avec les USA. Le fascisme à la sauce mondiale prend un visage féministe. Car le féminisme est une métastase du totalitarisme postmoderne. On retrouve comme toujours Tocqueville et son pouvoir prévoyant, tutélaire et doux, qui cherche à nous fixer dans l’enfance.

Ces froides fonctionnaires sans enfant remplissent nûment leur tâche ingrate, oubliant au passage que l’homme a été créé égal à la femme, l’électeur à son élu. »

Plus récemment je citais l’ignoré Orwell (un sacré misogyne…) :

« Le Parti essayait de tuer l’instinct sexuel ou, s’il ne pouvait le tuer, de le dénaturer et de le salir. Winston ne savait pas pourquoi il en était ainsi, mais il semblait naturel qu’il en fût ainsi et, en ce qui concernait les femmes, les efforts du Parti étaient largement couronnés de succès. »

On va voir pourquoi ; dès le début du livre, ce maître martyr et étrange écrit :

« C’était une fille d’aspect hardi, d’environ vingt-sept ans, aux épais cheveux noirs, au visage couvert de taches de rousseur (NDLR : 1984 abonde en rouquines) à l’allure vive et sportive. Une étroite ceinture rouge, emblème de la Ligue Anti-Sexe des Juniors, plusieurs fois enroulée à sa taille, par-dessus sa combinaison, était juste assez serrée pour faire ressortir la forme agile et dure de ses hanches. Winston l’avait détestée dès le premier coup d’œil. Il savait pourquoi. »

C’est ce mot de détester qui me frappe. On n’en a pas fini :

« C’était à cause de l’atmosphère de terrain de hockey, de bains froids, de randonnées en commun, de rigoureuse propreté morale qu’elle s’arrangeait pour transporter avec elle. Il détestait presque toutes les femmes, surtout celles qui étaient jeunes et jolies. C’étaient toujours les femmes, et spécialement les jeunes, qui étaient les bigotes du Parti : avaleuses de slogans, espionnes amateurs, dépisteuses d’hérésies. »

C’est Jean Raspail qui en m’évoquant tristement son Camp des Saints la dernière fois que je le vis chez lui (il était le dernier français de son immeuble parisien dans le dix-septième, ceci expliquant cela) m’en parla longuement, de ce Big Other qui est aussi une afro-religion féminine-féministe-léniniste-humanitaire-génocidaire et androphobe (on ne naît pas femme, on le devient, et c’est ta faute, ô nazi masculin !). Là on a une Big Mother qui avec les monnaies numériques de l’Autre Gastonne Lagarde ne va pas nous rater. Parfaite mère poule radine (elle s’augmente tout le temps) et catho avec ses cinq gosses à caser dans les boîtes milliardaires (on pense à Clara Gaymard), la hyène incarne à la perfection ce centrisme fasciste et catho-bourgeois, elle l’héritière de nazis, d’industriels et d’esclavagistes planteurs.

Tiens, un peu de Wikipédia :

« L’arrière-grand-père d’Ursula von der Leyen était le négociant en coton Carl Albrecht (en) (1875-1952), qui épousa Mary Ladson Robertson (1883-1960), Américaine issue de la famille Ladson, qui appartenait à l’aristocratie sudiste de Charleston en Caroline du Sud. Ses ancêtres américains ont joué un rôle notable dans la colonisation britannique de l’Amérique du Nord et dans la traite transatlantique.

Parmi les ancêtres de von der Leyen figurent également les gouverneurs John Yeamans, James Moore, Robert Gibbes, Thomas Smith et Joseph Blake, mais aussi Joseph Wragg et Benjamin Smith, qui se rangent parmi les plus grands marchands d’esclaves en Amérique du Nord britannique. Au moment où l’esclavage fut aboli aux États-Unis, son ancêtre James H. Ladson (1795–1868) détenait environ deux cents esclaves6. « 

Et comme on commence à comprendre les enjeux de cette Europe écolo-nazie et totalitaire-guerrière allons à la case Hallstein :

« Son père Ernst Albrecht était l’un des premiers fonctionnaires européens, travaillant à ce titre dès la création de la Commission européenne en 1958, d’abord au sein de la commission Hallstein, comme chef de cabinet auprès du commissaire européen à la Concurrence Hans von der Groeben, puis de 1967 à 1970 comme directeur de la direction générale de la Concurrence24. »

On n’insiste pas. L’Europe unie c’est l’esclavage numérique ou sanitaire pour tous, l’invasion migratoire et la guerre enragée et russophobe. Le tout béni par Bergoglio et par cette mère abbesse. Parce que ce bon vieux projet soi-disant judéo-maçonnique est avant tout un projet papiste et social, un projet mondial, chrétien-social et chrétien-démocrate inspiré par le feint empire romain germanique qui en a tant fait fantasmer dans la famille politique de la ma jeunesse.  L’empire ? Ach ! Une bière pour mon embyrrhe !

On verra pour rire cette vidéo de Luc Ferry (pourtant…) dénonçant la hyène comme la plus grande catastrophe qui soit arrivée à l’Europe… C’est à 2’30’’…

Je sais, ils exagèrent, on va se révolter, etc. Mais le ou la folle-sic qui remplacera Biden sera encore pire que lui. On en revient à la bonne dame du tyran de Syracuse. Tiens, citons-la :

« Étonné d’entendre une vieille femme prier les dieux de conserver les jours de Denys, il voulut connaître le motif d’une prière si extraordinaire, tant il connaissait la haine qu’on lui portait. « Je prie les dieux, lui dit cette femme,  de te donner une longue vie, parce que je crains que celui qui te succédera » ne soit plus méchant que toi, puisque tu es pire que tous ceux qui t’ont précédé. »

Sources :

https://www.dedefensa.org/article/merkel-et-notre-destruction-sur-commande

https://www.dedefensa.org/article/chesterton-et-la-menace-feministe-en-occident

https://www.dedefensa.org/article/george-orwell-et-le-feminisme-autoritaire

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ursula_von_der_Leyen

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ursula_von_der_Leyen

https://www.dedefensa.org/article/quand-ciceron-explique-macron

https://www.dedefensa.org/article/jouvenel-du-totalitarisme-en-democratie

https://www.dedefensa.org/article/lue-veut-sa-guerre-pour-verrouiller-sa-dictature

4 réflexions sur « Code Ursula : de Big Brother à Big Mother. Ou comment la féminité apocalyptique et bureaucratique va détruire TOUT CE QUI RESTE. Chesterton vers 1920 en Amérique : « And as there can be no laws or liberties in a nursery, the extension of feminism means that there shall be no more laws or liberties in a state than there are in a nursery… » Luc Ferry : « Mme Von der Leyen est la plus grande catastrophe qui soit arrivée à l’Europe. » En Amérique sinon, mon vieil ami Maurizio Blondet explique que Trump ne gagnera pas : le Deep State, Fink-Black-Rock et les médias tous démocrates ont décidé de virer le vieux Biden pour le remplacer par le gouverneur (milliardaire, écolo, LGBTQ) californien Gavin Newsom. C’est pour cela que le débat a été organisé trois mois avant. D’autres sources évoquent « Big Mike » (Mrs Michel le Obama)… »

  1. Je ne suis pas allé partout, mais je suis revenu de tout.

    https://illimitablemen.com/2015/01/02/the-cult-of-feminism-its-fabrication-of-history/

    la brave « maman « féministe qui travaille paie ses impôts enfin libérée du joug de son esclavagiste »masculin »….aujourd’hui émasculé , métrosex, intersex , ect , !

    ah le progressisme …construit par des démolisseurs qui aiment le « genre » humain!

    https://www.rockefellerfoundation.org/news/leaders-launch-new-1bn-gender-fund-to-advance-global-equality-and-womens-leadership/

    The Gender Fund aims to transform systems to be more just and inclusive ensuring at least 100 million people have better healthcare, quality education, and the opportunity to thrive – regardless of their gender, class, ethnicity, or race. This will be achieved through supporting organizations across Africa, Asia, and Latin America to advance their vision for change.

    The distinct potential of the Gender Fund comes from the diversity, leadership, and collaboration between supporters, including Cartier Philanthropy, the Children’s Investment Fund Foundation, The Estée Lauder Companies Charitable Foundation, MacKenzie Scott and Dan Jewett, Melinda French Gates, and the Bill & Melinda Gates Foundation, The Rockefeller Foundation, Roshni Nadar Malhotra, Thankyou Charitable Trust, Target Foundation, Tsitsi Masiyiwa, and others.

    The Fund, run by Co-Impact, will benefit from a world-class Advisory Group – experts in women’s rights, finance, social change, and advocacy including Anita Zaidi, Crystal Simeoni, Elizabeth Yee, Lakshmi Sundaram, Mabel van Oranje, Rebeca Gyumi, Tara Abrahams, Theo Sowa, Vidya Shah, and Wanjiru Kamau-Rutenberg.

    Nairobi, March 17, 2022 – Today, Co-Impact is proud to officially launch and share the growing pool of partners, funders and advisors coming together to advance the organization’s model of collaborative giving for systems change.

    The Gender Fund, aiming to raise U.S. $1bn to advance gender equality and women’s leadership, unites philanthropists, foundations, locally-rooted program partners, advisors, and private sector from around the world.

    While funding for gender equality has been rising over the last decade, only 1% of that funding has reached women’s organizations. The Gender Fund will bring significant resources into a grossly underfunded space and address “gendered systems” – the underlying norms, laws, practices, sanctions, and decision-making processes that lead to systematic barriers and persistent discrimination against women and girls.

    The Gender Fund will unblock pathways for women and girls to exercise their power, agency, and leadership at all levels – from household and community to institutions and government. It will fund locally-rooted partners to ensure that health, education, and economic systems work and are accountable to those they are intended to serve.

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  2. la frénésie du bonheur selon lulu l’ancien ….mais avec un peu plus de roros !

    https://www.lalibre.be/lifestyle/people/2021/05/06/lancien-ministre-luc-ferry-se-plaint-de-ne-gagner-que-4000-de-retraite-et-cree-la-polemique-arretez-de-memmerder-GR7OTBMJNJDO7CYLVSEQKXWHWY/

    ah jules , enfin luc n’est pas comme « bernadette  »

    je lui proposerais bien d’aller aider les « ploucs » à travailler la terre pour se faire un complément de retraite !

    il débite avec des lieux communs mais à la « télévicieux » !avec des journal…payés 20 à 40 000euros par mois !

    donc selon lui <<att .. est intell et humble >>… ce n’est pas lunaire c’est au delà …

    il devrait être plus …philosophe !mais lulu n’est pas le descendant de diogène …. ou de pline !

    et on rigole , on se congratule …

    c’est un sketch !

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  3. Au sommet, il y a bien sûr la conologie, un terme que j’ai inventé il y a des années pour désigner l’art de la persuasion par l’élite qui fait appel à des professionnels pour vous donner votre avis et vous tromper. Dans toute bonne escroquerie, nous avons tous entendu parler des escrocs de confiance, c’est bien plus élevé que l’escroc de confiance parce que les escrocs de confiance ne travaillent jamais en équipes aussi importantes pour leurs pièges. Mais ce qu’on constate, c’est qu’ils choisissent leur cible et que, lorsqu’ils choisissent leur cible, celle-ci doit essentiellement s’impliquer dans le jeu et y consentir. En général, ils pensent qu’ils vont obtenir quelque chose pour rien. C’est ainsi que cela fonctionne généralement.

    Vous pouvez voir comment dans 20 ans, et avant cela aussi bien sûr, avec la gratuité de ceci et de cela, si vous en achetez 2 vous pouvez en obtenir 10 et toutes ces absurdités liées au shopping et à l’épargne. C’est ce qu’on appelle des « pièges à souris » dans le métier, comme on l’appelle dans les relations publiques et le marketing. Ils vous proposent donc toutes ces petites choses pour vous attirer. Et lorsqu’ils vous attirent, ils veulent votre nom, votre adresse et votre numéro de téléphone, votre ADN et tout le reste, vous savez, peut-être même votre premier-né, cela dépend de ce que vous obtenez. Et vous vous y soumettez en pensant que vous allez gagner.

    Le jeu est basé sur la victoire, sur la théorie des jeux, sur la victoire, sur l’idée que chacun est pour soi et qu’il aime gagner. Et bien sûr, j’ai rencontré des personnes qui étaient dépendantes des jeux d’argent. Peut-être que beaucoup d’entre vous ont vécu des expériences similaires avec des personnes qu’ils connaissent ou peut-être même des membres de leur famille. C’est une véritable dépendance. Vous les rencontrerez ; ils ne sont pas portés sur la consommation excessive d’alcool en général et d’autres choses de ce genre. Il s’agit uniquement de jeux d’argent. C’est le sentiment de gagner quelque chose. C’est le grand frisson et la libération d’énormes endorphines, et ils se sentent fantastiques à ce moment-là. Ils ont fait quelque chose. Ils ont soudainement acquis de la valeur. Bien sûr, cela ne dure pas longtemps, car ils doivent gagner à nouveau, s’ils le peuvent. Mais la maison ne perd jamais, comme on dit dans les jeux de hasard. Peu importe, si vous continuez à revenir en arrière, vous perdez tout à nouveau et bien plus encore.

    Il s’agit vraiment d’une mauvaise dépendance. De bons livres ont été publiés par des personnes qui étaient dépendantes du jeu et qui s’en sont sorties avec beaucoup d’aide, etc. Mais ils montrent comment cela détruit leur vie. N’oubliez pas non plus qu’il existe toute une industrie autour des jeux d’argent. Une industrie massive. On n’y pense pas, sauf pour ce que l’on voit, comme les tables de roulette, les chevaux ou les chiens dans les hippodromes, etc. Mais il y a aussi toute une science derrière, pour inciter le client à passer à l’étape suivante, à l’étape suivante et à l’étape suivante. Toujours avec l’attrait de gagner quelque chose de plus. Comme je l’ai dit, il y a toute une science derrière cela.

    Il en va de même pour toute conologie. Vous êtes la cible et les gouvernements n’hésitent pas à utiliser l’argent de vos impôts pour employer des gens qui sont très bons dans ce qu’ils font. Certains sont aussi horribles que d’autres, ils proposent des idées d’enfants qui ont déjà été faites, mais ils ont de bonnes relations. Parce que nous vivons dans une société terriblement corrompue. Mais oui, ces persuadeurs, ces persuadeurs de type avancé comprennent le behaviorisme, la psychologie et le consumérisme avec les techniques de Bernays qu’il a reçues de son oncle, soi-disant. Son oncle Freud, sur la façon dont les pulsions inconscientes, il y a beaucoup de pulsions dans l’inconscient pour vous donner, encore une fois, de l’estime de soi et des choses comme ça. Mais vous savez, si vous avez du bon sens, que vous ne pourrez jamais vous le permettre, ou si vous pouviez vous le permettre, vous ne pourriez peut-être pas payer l’entretien d’une Rolls-Royce très chère ou quelque chose comme ça, ou même l’assurance pour cela, alors vous ne le faites pas. En général. En général, on ne le fait pas.

    L’idée est donc de vous rendre vraiment, vraiment avide et, grâce à des techniques de motivation, car c’est ce que font les motivateurs en battant des mains sur scène ou en courant, de vous empêcher de penser par vous-même, de vous faire sentir excité, puis de vous vendre l’idée ou le produit. L’idée est le produit. Et vous l’achetez, les techniques pour y parvenir. Mais c’est encore une fois une idée éphémère, très éphémère, que vous êtes omnipotent dans une certaine mesure. Vous pouvez intimider n’importe qui si vous criez suffisamment fort et si vous continuez à insister et à exiger. C’est sur cela que repose la plupart de ces pratiques. Et ils produisent un grand nombre de personnages désagréables, qui en ont tous assez d’eux. En fait, j’ai rencontré beaucoup de vendeurs comme ça, et des femmes aussi. Les femmes sont d’ailleurs meilleures dans ce domaine. Si vous regardez les compagnies pharmaceutiques, elles emploient des jeunes femmes séduisantes, habillées à la perfection avec les meilleurs vêtements de luxe pour se rendre dans les cabinets médicaux, et elles déposent, après avoir bavardé amicalement en se tutoyant et ainsi de suite, un grand nombre de médicaments gratuits à essayer, par leurs compagnies pharmaceutiques, pour que les médecins commencent à les distribuer. Tout fonctionne sur la base de la psychologie et de la nature humaine et vous l’exploitez. En fait, cela fonctionne très bien.

    Pour en revenir à la conologie, tout est régi par l’art de la conologie. Il y a de nombreuses années, je me souviens avoir lu un livre sur la politique, un de ces nombreux livres. Je n’ai jamais vraiment aimé la politique ; je savais instinctivement qu’il s’agissait d’un tas d’absurdités et d’une technique consistant à gérer le grand public pour le compte d’un autre groupe manifestement au-dessus de lui. En effet, les personnes que vous rencontriez, dont vous entendiez parler ou que vous voyiez à la télévision n’étaient pas les plus brillantes. C’étaient des marchands de modèles, comme nous les appelons, encore une fois, des types de vendeurs. Mais ils n’étaient pas les plus brillants. S’ils étaient pris en défaut par un bon journaliste lors d’une interview très rapide, généralement ce que l’on appelle une interview flash sur les marches du numéro 10 ou du bâtiment du Parlement, ils répliquaient souvent ce qu’il ne fallait pas et s’attiraient des ennuis. Ils ont donc toujours été formés par leurs manipulateurs, et les politiciens ont d’ailleurs tous des manipulateurs [Alan glousse] pour les diriger.

    Ils proposent même des cours de théâtre. Encore une fois, ils font payer leurs cours de théâtre aux contribuables. Il y a quelques années, j’ai fait un article sur ce type de cours en Grande-Bretagne, et d’autres pays le pratiquent. Bien sûr, on leur apprend à ne jamais répondre directement à une question. Si la question est délicate ou si elle risque de vous engager, vous répondez simplement à la question que vous auriez aimé que l’on vous pose. C’est pourquoi lorsque vous les entendez poser des questions directes, ils répondent par… De quoi parlent-ils ? Eh bien, c’est la question qu’ils souhaitent poser, vous voyez, elle n’a rien à voir avec ce qu’on leur a demandé. C’est de l’escroquerie.

    Il faut comprendre que les jeunes, s’ils sont idéalistes et qu’ils ont dépassé la phase destructrice de la révolution, devraient finir par se rendre compte que tout cela est corrompu. Et vous espérez que vous irez encore plus loin et que vous réaliserez que les dirigeants révolutionnaires sont tous corrompus également, et qu’ils sont aux ordres de puissances bien plus élevées, généralement celles-là mêmes que vous protestez, et qui gèrent tout au sommet. Je ne plaisante pas. [C’est comme ça que ça marche. C’est un système très différent, la réalité est très différente de ce que vous pensez, de ce qu’on vous a appris à penser.Pour en revenir à l’idée de la conologie, ils vous donnent de nouvelles normes. On assiste maintenant à une introduction rapide de nouvelles normes, tout le temps. depuis. Mais vous constaterez que les gens s’adaptent assez rapidement, surtout en cas de panique. Vous savez, l’instinct de troupeau, comme ils l’appellent, et la mentalité de troupeau, tout cela vise le troupeau, la population en général. Il en va de même pour toutes les formes de guerre et d’armement.

    (.)

    Mais vous commencez tous, vous arrivez au stade où vous devez commencer à réaliser que vous personnellement, chacun d’entre vous, va être forcé par le système dans lequel nous sommes de prendre des décisions, et de se conformer ou non aux incroyables régimes totalitaires qui nous sont enfoncés dans la gorge…. pour un agenda très ancien, qui l’utilise ouvertement et l’admet dans certains documents comme une excuse pour tout faire passer, y compris le WEF avec son forum économique.

    La prochaine étape de leur système pour nous gouverner tous et nous former à leur nouveau système. La grande remise à zéro. La réinitialisation mondiale. Il s’agit d’une réinitialisation de la culture, de la vie, des idées, de la nation et de l’absence de nation, du mondialisme, de tous ces trucs. Et une société dirigée par des experts. Encore une fois, la technocratie. C’est la même chose en Chine, pour ceux qui n’ont pas encore compris ce qu’est le communisme en Chine, c’est la technocratie. On vous dit quoi faire et vous obéissez, par souci d’efficacité.

    Justin Trudeau a dit au Canada, il a admiré la Chine, comment ils gèrent le COVID, vous voyez, ils n’ont pas eu à essayer de flatter les gens dans une société individualiste avec des droits individuels et des libertés et tout ça. ILS N’ONT PAS À S’EN PRÉOCCUPER. ILS PEUVENT SIMPLEMENT VOUS ORDONNER DE LE FAIRE ET VOUS LE FAITES. Il admirait cela. Il a dit la vérité. Donc, si vous le voulez au Canada, c’est à vous de décider. Beaucoup de gens s’y plieront. Beaucoup de gens aimeront le socialisme, en fait, où vous n’avez pas à penser par vous-même, où toutes vos décisions sont prises pour vous.

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