D’autres ont dit que la disparition n’eut lieu ni dans le temple de Vulcain, ni en présence des seuls sénateurs, mais que Romulus tenait ce jour-là une assemblée du peuple hors de la Ville, près du marais de la Chèvre. Une tempête effroyable, impossible à décrire, se déchaîna soudain, et il se fit dans les airs une révolution étrange : la lumière du soleil s’éclipse ; la nuit se répand sur la terre, mais non le calme et le repos ; car on n’entendait de toutes parts que grands éclats de tonnerre, que vents impétueux soufflant avec violence. La foule, effrayée, se dispersa ; mais les sénateurs se rapprochèrent les uns des autres. Quand l’orage fut passé, et que le jour eut repris sa lumière, le peuple revint à l’assemblée. Son premier soin fut de s’inquiéter du roi, de s’informer où il était ; mais les sénateurs empêchèrent toute recherche et tout examen. Ils ordonnèrent à tous les Romains d’honorer Romulus, et de lui rendre un culte. « Romulus, dirent-ils, vient d’être enlevé parmi les dieux (Plutarque, Vies parallèles). »

https://fr.wikisource.org/wiki/Vies_des_hommes_illustres/Romulus

Une réflexion sur « D’autres ont dit que la disparition n’eut lieu ni dans le temple de Vulcain, ni en présence des seuls sénateurs, mais que Romulus tenait ce jour-là une assemblée du peuple hors de la Ville, près du marais de la Chèvre. Une tempête effroyable, impossible à décrire, se déchaîna soudain, et il se fit dans les airs une révolution étrange : la lumière du soleil s’éclipse ; la nuit se répand sur la terre, mais non le calme et le repos ; car on n’entendait de toutes parts que grands éclats de tonnerre, que vents impétueux soufflant avec violence. La foule, effrayée, se dispersa ; mais les sénateurs se rapprochèrent les uns des autres. Quand l’orage fut passé, et que le jour eut repris sa lumière, le peuple revint à l’assemblée. Son premier soin fut de s’inquiéter du roi, de s’informer où il était ; mais les sénateurs empêchèrent toute recherche et tout examen. Ils ordonnèrent à tous les Romains d’honorer Romulus, et de lui rendre un culte. « Romulus, dirent-ils, vient d’être enlevé parmi les dieux (Plutarque, Vies parallèles). » »

  1. Si nous ne pouvons réfléchir par nous-mêmes, 

    nous sommes condamnés à croire ce qu’on nous enseigne.

    https://www.incapabledesetaire.com/edito3/manilius.pdf

    https://books.google.ca/books?id=VZNLAAAAMAAJ&pg=RA1-PA291&dq=tim%25C3%25A9e+de+platon&lr=lang_fr&as_brr=1&hl=fr#v=onepage&q&f=false

    https://www.incapabledesetaire.com/edito3/utopie.pdf

    https://kingdomsoftheworld.com/Jonathan%20May%20II.htm

    <<La mode de la femme au travail, l’immigration démesurée, la déréglementation et
    l’ouverture des frontières du libre marché, la démonisation de la pollution conduisant à
    l’hypertaxation de la cigarette et des carburants fossiles, la libéralisation du jeu, furent
    occasionnés par une éducation sociale utilisant les loyautés transverses, qui n’avaient
    pour seul objectif que d’accroître les marchés.
    Devant le pays qui se retrouve face à une désorganisation organisée et une élite
    politique susceptible d’être livrée pieds et poings liés à la critique des électeurs,
    l’organisation bancaire apporte 3 solutions possibles, visant à s’établir comme le
    sauveur.
    1- La première est de proposer au pays d’éliminer leurs propres monnaies et de se
    ranger sous le parapluie du dollar américain.
    2- La suivante est de mettre en place un système de crédit centralisé unilatéral.
    Intégré au système de Sécurité sociale du pays, chaque personne du pays qui se
    retrouve avec un numéro de sécurité sociale qui est aussi synonyme d’un numéro de
    carte de crédit et qui représente une capacité d’emprunt. Leur banque centrale agit en
    fournisseur unique de crédit, dans une nouvelle super banque qui dessert le pays.
    3- De façon à aider l’économie du pays, le Fond Monétaire Internationale (FMI)
    nomme des corporations non domestiques pour ingénier, excaver et exploiter les
    minéraux de ce pays, en retour de ROYAUTÉ PERPÉTUELLES.
    Une machine infernale visant une conquête stratégique, qui oblige la communauté à
    vendre les immeubles pour continuer de les occuper comme locataire. D’une façon
    telle que les élus n’ont plus d’autres choix que d’accepter la domination, jeu dans
    lequel les meilleurs deviennent ceux qui vendent de la meilleure façon
    l’apparence du raisonnable de la situation actuelle, à la population.

    Le parti élu est TOUJOURS celui qui en promet le plus. Un concept loin d’être nouveau
    puisque de telles stratégies de conquête étaient déjà développées et matures a
    l’époque des corporatums romains, ces ancêtres de nos corporations financières.
    Qu’un tel parasite soit en mesure de contrôler l’intégralité de l’hôte en se rendant
    indispensable, qu’il ait de plus la capacité de se reproduire avec la descendance de
    l’hôte et il deviendra un mécanisme de l’évolution sous forme d’un nouvel être,
    symbiose de l’hôte et du parasite.

    Puisque l’ajustement de la valeur de la monnaie permet d’établir celui du volume de la
    ponction sociale, l’objectif est et sera toujours l’établissement d’une monnaie globale,
    puisqu’ainsi l’hôte ne possédera plus de références et n’est plus en mesure de jauger
    de sa situation de santé.

    Le Nouvel Ordre Mondial n’est pas un état, mais une étape. C’est ce moment ou le
    parasite s’estimera en mesure de prendre le contrôle du reste de la société humaine
    ouvertement. Dès ce moment, il sera trop tard. Le règne des tyrans sera officialisé.

    De ce point de vue, le mot conspiration est inapproprié et très en deçà de la triste
    réalité, dans cette société qui n’est rien de plus qu’une « corporation totalitaire avec un
    encadrement démocratique à géométrie variable ». Une étable. Et quand la vache fait
    une dépression nerveuse, tu peintures les murs en rouges et tout va mieux déjà.>>

    vont ils se réveiller Nicolas je l’espérais , mais je n’y crois plus

    le système les « posséde  » corps et bientôt âmes , du moins ce qu’il en restera

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