Réchauffement climatique et surtout apocalyptique. Scènes de guerre en France. Attaque de drones en mer Noire contre la flotte russe. La Russie accuse l’Angleterre (qui s’enfonce dans la misère – cf. Gordon Brown) du sabotage du gazoduc. « Nous sommes au bord de la catastrophe ». La proximité de la défaite démocrate aux élections mi-mandat accélère la folie des élites et leur rage apocalyptique. Mise en place sinon du « capitalisme de surveillance » en Europe (Breton) sur fond de lutte contre Twitter : c’est Halloween. La Pologne tente de réclamer des dédommagements à la Russie pour cause de communisme après en avoir réclamé 1300 milliards aux Allemands : c’est Ubu.  Syndrome sibérien : nous tombons dans l’eau glacée et nous risquons de mourir en une minute. Si nous voulons en sortir violemment, nous durons deux secondes. Les Tchèques sans provision en rébellion à Prague…

https://lesakerfrancophone.fr/revue-de-presse-rt-du-23-au-29-octobre

https://echelledejacob.blogspot.com/2022/10/attaques-otanukraine-de-drones-contre.html

https://t.me/trottasilvano/27663

https://www.rt.com/russia/565577-nord-stream-uk-attack/

2 réflexions sur « Réchauffement climatique et surtout apocalyptique. Scènes de guerre en France. Attaque de drones en mer Noire contre la flotte russe. La Russie accuse l’Angleterre (qui s’enfonce dans la misère – cf. Gordon Brown) du sabotage du gazoduc. « Nous sommes au bord de la catastrophe ». La proximité de la défaite démocrate aux élections mi-mandat accélère la folie des élites et leur rage apocalyptique. Mise en place sinon du « capitalisme de surveillance » en Europe (Breton) sur fond de lutte contre Twitter : c’est Halloween. La Pologne tente de réclamer des dédommagements à la Russie pour cause de communisme après en avoir réclamé 1300 milliards aux Allemands : c’est Ubu.  Syndrome sibérien : nous tombons dans l’eau glacée et nous risquons de mourir en une minute. Si nous voulons en sortir violemment, nous durons deux secondes. Les Tchèques sans provision en rébellion à Prague… »

  1. « Nous sommes au bord de la catastrophe. » Jump, lemmings, jump !

    Sous forme de citation, modeste contribution à la bonne humeur générale en euromacronistan « démocratique », « inclusif », « progressiste », « écologiste » et « médical ». Yep, les guillemets signalent un *léger* scepticisme.
    //
    Il n’y a, en effet, aucune raison de s’attrister à l’idée que les innombrables laideurs que nous voyons s’étaler partout, sur tous les continents, seront un jour définitivement balayées, avec ceux qui les ont produites, encouragées ou tolérées, et qui continuent sans arrêt d’en produire de nouvelles. Il n’y a même pas de quoi s’attrister à la crainte que les vieilles et belles créations humaines — les Pyramides de Gizeh, le Parthénon, les temples de l’Inde du Sud, Ellora, Angkor, la cathédrale de Chartres, — pourraient bien être balayées en même temps qu’elles, dans la colossale fureur de la Fin. Les laideurs que l’homme a accumulées, les désécrations de la Terre dont se sont rendues coupables, en ce siècle de déchéance universelle, même les meilleures races, neutralisent de loin tout ce que le génie des Anciens a produit de plus grand et de plus beau. Elles font oublier les taureaux ailés de Babylone et d’Assyrie, les frises des temples grecs et les mosaïques byzantines, et font pencher le fléau de la balance en faveur de la disparition de l’espèce humaine. D’ailleurs, les oeuvres éternelles ne sont plus à leur place dans le monde d’aujourd’hui. On ne les voit même plus.
    […]
    Il ne reste plus qu’à souhaiter, qu’à appeler de toutes nos forces « le Déluge » — la *Fin* ; qu’à nous rendre personnellement responsables de sa venue, en la souhaitant jour et nuit.

    Je la désirerais, je l’appellerais, même si on me persuadait que pas un de nous — y compris moi, bien entendu ; y compris ceux que j’admire et aime le plus, — n’y survivrions. Le monde est trop laid, sans ses Dieux véritables, — *sans le sens du sacré au sein de la vie*, — pour que les Forts n’aspirent pas à sa fin.

    Mes camarades, joignez-vous à moi, et lançons à tous les échos, avec Wotan, le Chant de la Fin :
    « *Eins will ich : das Ende ; das Ende !* »

    Le monde sans l’homme est, et de très loin, préférable, au monde dans lequel aucune élite humaine ne commandera plus. Le rugissement du lion s’y fera de nouveau partout entendre, au cours des nuits, sous le ciel resplendissant de clair de lune, ou sombre et plein d’astres. Et de nouveau les vivants y trembleront devant un Roi digne d’eux.
    //
    Encore un espoir qui sera déçu, évidemment. 😉
    Serais-je interrogé par un hypothétique Institut Dies Irae sur l’Occulte Tiqqun pour savoir si je suis :
    [_] opposé
    [_] indifférent
    [_] favorable
    à cette fin que les Stoïciens appelaient *ekpurôsis* — un déluge planétaire et une conflagration universelle –, j’irais bien répondre que j’y suis plus que favorable, et que mon seul regret est de n’avoir pas le pouvoir de la déclencher afin que disparaissent définitivement et l’immonde termitière technicienne moderne, et tous les hommes-insectes qui l’ont voulue ou tolérée. Et cette fois, pas de reprise du cycle : the end, once and for all :

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