Scholz à Davos pour exécuter. Robots prêts pour notre extermination. « Ce qui est affreux et nous donne de l’espèce humaine une opinion désolée, c’est que, pour mener à bien ses desseins, une société de ce type trouve invariablement les instruments zélés de ses crimes. C’est un de ces hommes que j’ai voulu décrire dans La Mort est mon Métier (Robert Merle). » Vent de folie sur les patrons du satanisme mondialiste (Maurizio) : voyez Al Gore ou Tony Blair exigeant notre mort/esclavage. Nous sommes arrivés à la vingt-cinquième heure : « Nous périrons donc enchaînés par les esclaves techniques. Mon roman s’appellera la vingt-cinquième heure. Le moment où toute tentative de sauvetage devient inutile. Même la venue d’un messie ne résoudrait rien. Ce n’est pas la dernière heure : c’est une heure après la dernière heure. Le temps précis de la société occidentale. C’est l’heure actuelle, l’heure exacte » (Virgil Gheorgiu, prêtre orthodoxe). Monnaie numérique russe.

https://booknode.com/la_mort_est_mon_metier_0821/extraits

https://lesakerfrancophone.fr/ukraine-forte-pression-pour-obtenir-des-chars

http://www.greekcrisis.fr/2023/01/Fr1008.html

4 réflexions sur « Scholz à Davos pour exécuter. Robots prêts pour notre extermination. « Ce qui est affreux et nous donne de l’espèce humaine une opinion désolée, c’est que, pour mener à bien ses desseins, une société de ce type trouve invariablement les instruments zélés de ses crimes. C’est un de ces hommes que j’ai voulu décrire dans La Mort est mon Métier (Robert Merle). » Vent de folie sur les patrons du satanisme mondialiste (Maurizio) : voyez Al Gore ou Tony Blair exigeant notre mort/esclavage. Nous sommes arrivés à la vingt-cinquième heure : « Nous périrons donc enchaînés par les esclaves techniques. Mon roman s’appellera la vingt-cinquième heure. Le moment où toute tentative de sauvetage devient inutile. Même la venue d’un messie ne résoudrait rien. Ce n’est pas la dernière heure : c’est une heure après la dernière heure. Le temps précis de la société occidentale. C’est l’heure actuelle, l’heure exacte » (Virgil Gheorgiu, prêtre orthodoxe). Monnaie numérique russe. »

  1. Judicieuse réflexion que celle-ci : « Nous périrons donc enchaînés par les esclaves techniques. »
    Si j’avais du temps et du talent, j’irais bien développer cette idée : le rôle criminel de l’informatique dans l’effondrement, quand elle a contaminé toutes les activités qui y faisaient appel. C’est par sa faute qu’on a connu des pratiques presque impensables — en tout cas condamnées par les têtes raisonnables — dans le monde d’avant : produits livrés dans un état imparfait, irrespect des délais et des promesses, obligation (plus imaginaire que réelle) de changer matériels et logiciels sans raison autre qu’enrichir quelques voyous, mensonges sur les lendemains qui chanteront mieux que la veille mais moins bien que le surlendemain, maîtrise réservée à une poignées d’individus se prenant volontiers pour des dieux, refus de prendre en compte le réel et l’expérience, illusion de dominer le monde par les nombres, corrections sans fin remédiant partiellement à d’anciens problèmes tout en en créant de nouveaux, changements apportés sans nécessité sinon pour faire « nouveau » et donc « mieux » (ce qui aurait fait rire Schopenhauer), passion pour les simulacres et les simulations comme substituts du réel, confusion entre science/savoir et technique/art (braves ricains qui parlent, sans rire, de « computer science »), obsession du contrôle total sur autrui au motif que la numérisation généralisée permet de tout surveiller. La religion informatique — malgré l’excellence de plusieurs de ses prêtres –, répandue dans tous les domaines, a porté un coup fatal à la civilisation. Elgozy l’avait d’ailleurs dit dans son *Esprit des mots* : « Homme de bas calculs, l’informaticien ne comprendra jamais qu’il faut plus de bon sens pour se passer d’un ordinateur que pour l’utiliser. »

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    1. Soyons positifs, si la secte, les mondialistes, l’Elite, l’hyperclasse, a besoin de créer une matrice sur une autre matrice, c’est qu’elle sent que quelque chose arrive et que ce quelque chose est de nature à la balayer, elle et ses maitres.
      La légion au nombre de 360 sent le vent du boulet arriver, je les comprends, leur chef (Atoum-Rê, le démiurge) avait interdit toute reproduction à Nout et Geb, ses petits enfants, manque de bol, si je puis dire, Nout gagna ce droit aux dés face à Thot, seulement pendant 5 jours dit épagomènes, 360 + 5 = 365 jours de l’année calendaire, ce qui donna Osiris, Isis, Horus l’ancien, Seth et Nephtys.
      La suite, on la connait.
      Ils ont beau vouloir accentuer l’hypnose de l’humanité, un nouvel Horus viendra rétablir le pilier royal afin de reconstituer la porte du Temple qui reposera, de nouveau, sur ses 2 jambes, face à l’Est.

      Un nouvel âge d’or, en somme.

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  2. Haut les coeurs ! le retour de Ganymède, l’échanson des dieux, est annoncé, même dans les évangiles :

    « Le premier jour des pains sans levain, où l’on sacrifiait l’agneau pascal, les disciples de Jésus lui dirent : « Où veux-tu que nous allions te préparer le repas de la Pâque ? »
    Il envoya deux de ses disciples et leur dit : « Allez à la ville. Vous rencontrerez un homme qui porte une cruche d’eau : suivez-le.
    Là où il entrera, dites au propriétaire de la maison : ‘Le maître dit : Où est la salle où je mangerai la Pâque avec mes disciples ?’
    Alors il vous montrera une grande chambre à l’étage, aménagée et toute prête : c’est là que vous nous préparerez la Pâque. » Marc 12-15.

    Ganymède, bien entendu, est le symbole du Verseau, Le système solaire va y demeurer pour plus de 2000 ans, que d’aucuns anticipent son entrée dans la maison de Ganymède à horizon 2030 ou encore plus loin, pour les plus pessimistes.

    Le énième retour du Messie est pour bientôt et comme chacun le sait, il est précédé de l’AntéChrist.
    Seth a régné du temps d’Osiris HS ou mort, le temps qu’Horus reprenne le trône.
    Le Christ est mort, « Dieu est mort » s’écriait Nietzsche, mais son fils, donc sa réincarnation sur terre, est en gestation.
    On meurt comme un Osiris, mais on renait comme un Horus, c’est immuable et cyclique.

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