Silvano se penche sur les licenciements des secteurs technologiques : aucune crise. Le démon informatique comme le démon révolutionnaire dévore ses propres enfants (Maistre et Cochin parlèrent des automates révolutionnaires). Ici on n’a pas besoin des hommes et l’intelligence artificielle va dévorer tout en temps et en heure et faire disparaître tous les hommes sauf les entités aliénigènes (Schwab, Gates, Harari) chargées de mettre en place l’horreur sur terre. Christian Darlot me parle des Américains en Afghanistan : c’était un leurre leur départ. Je l’ai dit il y a un an déjà : l’empire mute monstrueux en matrice. Les conflits géostratégiques sont un leurre : la réalité c’est l’intelligence artificielle partout et le règne de l’Antéchrist sous une forme robotique (cf. Guénon et le cerveau de la ville des automates dans un conte hindou). Fin des boulangeries, des hôpitaux, même des élections… Et LEUR vaccin est un simple arraisonnement cybernétique-informatique des âmes. 17% d’inflation aussi.

Texte de Silvano :

https://t.me/trottasilvano/29258


Le secteur technologique s’est séparé de plus de 150.000 employés au cours des derniers mois. En cause, le contexte macroéconomique et les perspectives peu optimistes. À moins qu’un autre mobile n’ait joué dans la balance. Les experts se sont penchés sur les profils des personnes licenciées et en ont tiré plusieurs observations étonnantes :

Tout d’abord, les experts ont été étonnés de constater que le niveau d’expérience moyen des personnes licenciées était de 11,5 ans. Il ne s’agissait donc pas de personnes engagées en surplus durant la pandémie.
Ensuite, les experts ont noté que 28 % de toutes les mises à pied provenaient des ressources humaines (RH). Ils avancent deux hypothèses pour expliquer cela :
La première est tout simplement liée aux licenciements de masse. En quête d’économie, les entreprises ont également réduit fortement leurs embauches, elles ont donc moins besoin de personnel RH.
La seconde est qu’une majorité des ressources humaines peut être automatisée. Il existe déjà plusieurs plateformes visant à automatiser les tâches liées aux entretiens et aux embauches, dont la vérification des références ou des identités, ainsi que la réalisation d’évaluation de santé et de sécurité.
Amazon a déjà utilisé l’IA pour identifier les employés sous-performants et les licencier.
Un point qui expliquerait aussi pourquoi les ingénieurs logiciels font partie des profils les plus touchés par les licenciements. Une partie de leur travail peut être effectué par une IA.
De ces observations, on peut se demander si les géants de la technologie se sont effectivement développés trop vite, poussés par de mauvais calculs liés à la pandémie, ou si les innovations en intelligence artificielle et en automatisation n’ont pas créé une situation dans laquelle remplacer les gens par des machines est devenue le moyen le plus rapide de faire des économies.

Lettre de Christian Darlot :

Un Afghan en qui j’ai confiance m’a dit que les E-U n’avaient pas quitté tout l’Afghanistan, mais seulement la partie qui coûtait trop cher. Non seulement ils ont laissé des agents (c’est évidemment de bonne guerre) mais ils conservent une base assez grande, en altitude, dans le doigt au N-E, d’où ils peuvent causer des noises à la Russie via l’Ouzbékistan, et à la Chine via le Ouighouristan (si ce nom existe). Bien sûr, à court terme, ce n’est sans doute guère efficace, mais le but est de garder un pied dans la porte.

Cette information serait à vérifier, mais la source paraît fiable.

Incidemment, l’oligarchie mondiale est évidemment divisée et ses desseins paraissent encore plus impénétrables que ceux du Seigneur.

Comment espérer dominer le monde en détruisant l’industrie des pays contrôlés ?

Comment espérer continuer le chantage à la guerre en envoyant le matériel militaire se faire écrabouiller en Scythie ?

Comment feindre de rester puissant alors que la majorité des jeunes hommes est trop obèse ou trop camée pour porter les armes ?

Comment vouloir à la fois dominer le monde et déstructurer la société ?

Bien d’autres questions se posent.

Qqchose m’échappe.

Textes de Christian au Saker :

https://lesakerfrancophone.fr/septembre-2001-aux-etats-unis-quelle-fut-lorigine-des-evenements

https://lesakerfrancophone.fr/mondialisme-au-vatican

https://le-miroir-alchimique.blogspot.com/2018/02/guenon-la-cite-divine.html

De Guénon à Klaus Schwab :

Aussi une autre image plus exacte est-elle donnée par le jeu des marionnettes, puisque celles-ci ne sont animées que par la volonté d’un homme qui les fait mouvoir à son gré (et le fil au moyen duquel il les fait mouvoir est naturellement encore un symbole du sûtrâtmâ) ; et l’on trouve à cet égard un
« mythe » particulièrement frappant dans le Kathâ-Sarit-Sâgara12. Il y est question d’une cité entièrement peuplée d’automates en bois, qui se comportent en tout comme des êtres vivants, sauf qu’il leur manque la parole ; au centre est un palais où réside un homme qui est l’« unique conscience » (êkakam chêtanam) de la cité et la cause de tous les mouvements de ces automates qu’il a fabriqués lui-même ; et il y a lieu de remarquer que cet homme est dit être un charpentier, ce qui l’assimile à Vishwakarma…

https://www.zerohedge.com/technology/if-youre-warehouse-worker-boston-dynamics-video-might-be-ominous-sign

2 réflexions sur « Silvano se penche sur les licenciements des secteurs technologiques : aucune crise. Le démon informatique comme le démon révolutionnaire dévore ses propres enfants (Maistre et Cochin parlèrent des automates révolutionnaires). Ici on n’a pas besoin des hommes et l’intelligence artificielle va dévorer tout en temps et en heure et faire disparaître tous les hommes sauf les entités aliénigènes (Schwab, Gates, Harari) chargées de mettre en place l’horreur sur terre. Christian Darlot me parle des Américains en Afghanistan : c’était un leurre leur départ. Je l’ai dit il y a un an déjà : l’empire mute monstrueux en matrice. Les conflits géostratégiques sont un leurre : la réalité c’est l’intelligence artificielle partout et le règne de l’Antéchrist sous une forme robotique (cf. Guénon et le cerveau de la ville des automates dans un conte hindou). Fin des boulangeries, des hôpitaux, même des élections… Et LEUR vaccin est un simple arraisonnement cybernétique-informatique des âmes. 17% d’inflation aussi. »

  1. A en croire les commentaires chez Bruce Schneier, les développeurs professionnels, candides au point d’avoir d’abord cru sur parole les articles imbéciles de la bonne presse à propos d’un ChatGPT prétendu capable d’écrire de vrais programmes complexes (évolution de l’instruction DWIM, sans doute — le magique « Do What I Mean »), semblent rassurés : ils ne sont pas près d’être remplacés. Ils négligent toutefois un point : un tout petit nombre de programmeurs mercenaires raisonnablement compétents suffit à faire fonctionner la machine. On ne verra pas de hackers géniaux se lever contre la tyrannie, pas plus qu’on ne verra les obéissants hoi polloi développer une cervelle révolutionnaire.

    Le dernier dieu rencontré par Gripari à la fin de son *Monoméron*, c’est le dieu choisi par l’humanité, savoir un robot :
    « J’ai acquis la certitude que l’homme, livré à lui-même, se condamne à une longue et pénible agonie. Moi qui suis programmé pour faire son bonheur, j’avais donc le devoir d’organiser son anéantissement. »
    Certes, Schwab, Harari[dicule] et ses amis ne veulent pas le bonheur de l’humanité mais le leur ; le résultat est le même : « Extermination ! Extermination ! » façon Dalek. C’est bien la preuve que c’est à ses méthodes et actions qu’on reconnaît le Mal, non à ses discours. On en jugera par cet acte de charité raconté par Leconte de Lisle dans ses *Poèmes barbares* :
    //
    Un Acte de charité.

    Certes, en ce temps-là, le bon pays de France
    Par le fait de Satan fut très fort éprouvé,
    Pas un grêle fétu du sol n’ayant levé
    Et le maigre bétail étant mort de souffrance.

    Trois ans passés, un vrai déluge, nuit et jour,
    Ruisselait par les champs où débordaient les fleuves.
    Or, chacun subissait les communes épreuves,
    Le bourgeois dans sa ville et le sire en sa tour.

    Mais les Jacques, Seigneur ! Dévorés de famine,
    Ils vaguaient au hasard le long des grands chemins,
    Haillonneux et geignant et se tordant les mains,
    Et faisant rebrousser les loups, rien qu’à la mine !

    L’été durant, tout mal est moindre, quoique amer ;
    On se pouvait encor nourrir, malgré le Diable ;
    Mais où la chose en soi devenait effroyable,
    Sainte Vierge ! c’était par les froids de l’hiver.

    De vrais spectres, s’il est un nom dont on les nomme,
    Par milliers, sur la neige, étiques, aux abois,
    Râlaient. On entendait se mêler dans les bois
    Les cris rauques des chiens aux hurlements de l’homme.

    C’étaient d’horribles nuits après des jours affreux ;
    Et les plus forts tendaient aux plus faibles des pièges ;
    Et le Maudit put voir des repas sacrilèges
    Où les enfants d’Adam se dévoraient entre eux.

    Donc, en ces temps damnés, une très noble Dame
    Vivait en son terroir, près la cité de Meaux.
    Quand le pauvre pays fut en proie à ces maux,
    Une grande pitié s’éveilla dans son âme.

    Elle ouvrit ses greniers aux gens saisis de faim,
    Sacrifia ses bœufs, ses vaches, par centaines,
    Fondit ses plats d’argent, vendit l’or de ses chaînes,
    Donna tant, que tout vint à lui manquer enfin.

    Alors, par bonté pure, elle se fit errante ;
    Elle allait conduisant son monde exténué,
    Long troupeau qui n’était jamais diminué,
    Car, pour dix qui mouraient, il en survenait trente.

    Mais les villes baissaient les herses, dans la peur
    Que la horde affamée engloutît leur réserve.
    En ce siècle, — que Dieu du pareil nous préserve ! —
    Les bourgeois avaient plus d’angelots que de cœur.

    Les campagnes étant désertes, tout en friche,
    Il fallait en finir. La Dame résolut
    De délivrer les siens en faisant leur salut ;
    Car en charité vraie elle était toujours riche.

    Une nuit que six cents mendiants s’étaient mis
    À l’abri du grand froid en une vaste grange,
    Pleine de dévoûment et d’une force étrange,
    Elle barricada tous ses pauvres amis.

    Aux angles du réduit de sapin et de chaume,
    Versant des pleurs amers, elle alluma du feu :
    — J’ai fait ce que j’ai pu, je vous remets à Dieu,
    Cria-t-elle, et Jésus vous ouvre son royaume ! —

    Tous passèrent ainsi dans leur éternité ;
    Prompte mort, d’une paix bienheureuse suivie.
    Pour la Dame, en un cloître elle acheva sa vie.
    Que Dieu la juge en son infaillible équité !
    //
    Evidemment, ce remède n’est pas très « écologiquement correct ».

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