Shakespeare et la musique des sphères : « Ce doux silence et cette nuit si belle conviennent aux accords d’une gracieuse harmonie. Assieds-toi, Jessica ; vois comme la voûte des cieux est incrustée de disques brillants. Parmi tous ces globes que tu vois, il n’y a pas jusqu’au plus petit, dont les mouvements ne produisent une musique angélique en accord avec les concerts des chérubins, à l’œil plein de jeunesse. Telle est l’harmonie qui se révèle aux âmes immortelles : mais tant que notre âme est enclose dans cette grossière enveloppe d’une argile périssable, nous sommes incapables de l’entendre. (Entrent les musiciens.) — Allons, éveillez Diane par un hymne ; pénétrez des sons les plus mélodieux l’oreille de votre maîtresse, et entraînez-la vers sa demeure par le charme de la musique…les poètes ont prétendu qu’Orphée attirait les arbres, les rochers et les fleuves, parce qu’il n’est rien dans la nature de si insensible, de si dur, de si furieux, dont la musique ne change pour quelques instants le caractère ; l’homme qui n’a en lui-même aucune musique, et qui n’est pas ému par le doux accord des sons, est propre aux trahisons, aux perfidies, aux rapines (le marchand de Venise)… »

3 réflexions sur « Shakespeare et la musique des sphères : « Ce doux silence et cette nuit si belle conviennent aux accords d’une gracieuse harmonie. Assieds-toi, Jessica ; vois comme la voûte des cieux est incrustée de disques brillants. Parmi tous ces globes que tu vois, il n’y a pas jusqu’au plus petit, dont les mouvements ne produisent une musique angélique en accord avec les concerts des chérubins, à l’œil plein de jeunesse. Telle est l’harmonie qui se révèle aux âmes immortelles : mais tant que notre âme est enclose dans cette grossière enveloppe d’une argile périssable, nous sommes incapables de l’entendre. (Entrent les musiciens.) — Allons, éveillez Diane par un hymne ; pénétrez des sons les plus mélodieux l’oreille de votre maîtresse, et entraînez-la vers sa demeure par le charme de la musique…les poètes ont prétendu qu’Orphée attirait les arbres, les rochers et les fleuves, parce qu’il n’est rien dans la nature de si insensible, de si dur, de si furieux, dont la musique ne change pour quelques instants le caractère ; l’homme qui n’a en lui-même aucune musique, et qui n’est pas ému par le doux accord des sons, est propre aux trahisons, aux perfidies, aux rapines (le marchand de Venise)… » »

  1. bonsoir Nicolas

    vous savez la dite musique des » sphères » devient de manière cyclique ,dysharmonieuse et leur « mélodie « se transforme en une cacophonie digne d’un concert de hard métal …et cette « dissonance  » affecte toute cette planète tant au niveau de « organique » que de l’inorganique !

    nous sommes dans cette période de dissonance et son climax approche à très grand pas !

    cette « musique  » est la voix de Dieu , le vrai pas celui avec sa barbe sur son nuage

    Notre Dieu à nous ,les gueux, les sans dents, les matérialistes laicards est effectivement un bonhomme à barbe assis sur un trône et se réjouissant de
    l’amour que nous nous portons, entre nous. Croire ou pas est aujourd’hui un choix
    individuel.

    Les nouveaux préceptes de l’éducation moderne ?
    La philosophie n’est qu’histoire pour enfants – la religion est un choix – Dieu n’est
    rien – L’Éther était la gravitation de Newton – La religion, tout comme la prière,
    l’astrologie et les prophéties ne sont que refuges pour les imbéciles.
    La différence entre la signification réelle de ces mots et celle que nous leur attribuons
    aujourd’hui est occasionnée par la corruption du savoir.

    Dieu, Thor, le torus. Le torus n’a rien d’une illumination, il est au coeur de notre
    univers et il apparaît dans tout ce que les Anciens considéraient comme vivant.
    En comparaison avec nos propres standards, leur vision du vivant en était une
    étendue puisqu’elle incluait tout ce qui bouge de façon coordonnée, une idée
    présumant d’un mouvement s’effectuant dans une formation torique, le vortex. Les
    galaxies, les étoiles, le système solaire, le tourbillon d’air, le tourbillon d’eau, celui du
    vivant, étaient tous occasionnés par cet anneau.
    Pas que dans la littérature hébraïque, cet anneau est celle symbolisée dans la trilogie
    du Seigneur des anneaux, elle apparaît dans l’iconographie des anciennes religions
    nordiques sous le personnage de Thor, dont le casque, les cornes et son marteau,
    symbolisait ce torus et les changements de mondes qui l’accompagnent. Une
    iconographie qui disparut tout à la fois avec le changement de leurs religions d’État
    pour un passage au catholicisme au 10e siècle.
    Dans toutes les autres religions qui possèdent un peu de racines dans l’histoire, cet
    anneau est le secret des secrets auquel il ne pouvait être fait allusion et dont le nom
    véritable ne pouvait pas être prononcé. D’une façon ou d’une autre, le tore apparaît
    dans toutes les religions, il est de tous les autels, dans la plupart des gestes sacrés
    et de l’iconographie de chacune. La couronne au-dessus de la tête des saints
    hommes, le renflement existant sur le pied des calices et des ciboires, les urnes
    funéraires, en sont toutes des exemples.

    Ce n’est pas qu’une symbolique instructive. Cette forme est essentielle à la vie !

    Pour comprendre, il faut envisager l’espace qui existe dans le périmètre de l’anneau
    même. Imaginons que cet anneau soit un récipient empli d’eau et que cette eau
    tourne autour de l’anneau, elle ne se déplacera pas en bloc, mais en filaments. Dans
    leurs courses, ces grands filaments ne demeureront pas dans une section précise du
    vase, mais se promèneront autour dans un mouvement tourbillonnaire.
    Ce faisant, ces filaments acquerront une course torique répondant à un ensemble de
    critères que les Anciens avaient énoncés comme les lois divines. La création de ces
    filaments et de ce flot tourbillonnaire est engagée par une électricité statique dont
    l’excédent est irradié.
    Cette électricité statique est la fontaine blanche. Elle est créée sur place et est
    essentielle à la vie. Si elle n’existe plus, tout cesse. Plus de vie, plus de mouvement,
    plus de lumière, plus d’électricité.
    Elle ne nous est distribuée qu’avec parcimonie.
    En fonction de lois mathématiques imperturbables, cette puissance n’était pas
    acheminée partout, mais a des endroits préordonnés. Sa présence provoque
    l’amalgame de la matière, selon un processus tourbillonnant et similaire quel que soit
    l’ordre de grandeur. Galaxie, système solaire, planètes, biologie, tout ce qui se
    déplace de façon coordonnée vit et tout ce qui vit, se construit et se déploie selon
    cette même architecture divine, le Thor. C’est de cette architecture que sont
    disposées les planètes de notre système solaire la double hélice du code génétique,
    le physique des animaux et des humains, les circonvolutions du cerveau. C’est de ce
    vortex que naissent la gravité, l’illusion du temps et toutes les autres lois, fondant
    notre physique moderne. C’est en fonction de ce principe qu’était comparée
    l’architecture de l’homme avec celle de la planète et celle du système solaire.
    Platon nous a soulevé un coin du voile. C’est dans l’énergie que se retrouve le fil
    conducteur de cette architecture. Tout ce qui vit et tout ce qui bouge de façon
    coordonnée consomment de l’énergie. L’homme comprit que la cinquième des forces
    présentes dans l’univers, l’éther, avait comme fonction de permettre à l’énergie
    quelle qu’elle soit et quel que soit sa provenance, de se manifester. La génération et
    la putréfaction sont deux actions d’un même phénomène, les deux cessent dès que
    je retranche la portion « étincelle de vie » de l’équation. Placés dans un congélateur,
    ou dans le vide, les deux cessent.
    Un rayonnement cosmique qui imprégnait tout et qui déterminait les propriétés
    physiques de l’univers qui nous entoure, en nourrissant des forces
    électromagnétiques émanant de la matière même qui en assurait la cohérence et
    engageait son agglutination. Sa présence insufflait aux étoiles leurs facultés
    d’illuminations, aux planètes celles de se mouvoir, à la vie d’exister et d’évoluer, au
    coeur de battre, au cerveau de fonctionner, au feu de s’allumer, à la lumière
    d’éclairer et à l’électricité de circuler. Un terreau.
    La différence entre la vie et le néant.
    Considérée comme l’essence de la vie par les générations qui nous ont précédées,
    cette richesse était la voix de Dieu, une énergie dont il est possible de constater les
    effets visibles dans l’atmosphère entourant les pôles par l’ionisation électrique qui s’y
    crée, source des aurores boréales. Dieu, où les autres mots ayant eu cette
    signification dans l’histoire, n’était pas un Être, mais une contraction de la
    philosophie divine, les causes et conséquences de la voix divine.
    Autrement, Dieu était une entité invisible au nom imprononçable, aux desseins
    incompréhensibles, dont le rayonnement éthérique autorisait tout ce qui est.
    Une foule de facteurs vont influencer la distribution et les caractéristiques de cette
    énergie. Les constellations ne sont pas toutes de même qualité et possèdent un
    éclairage inégal en qualité et en puissance.
    Un de ceux-ci est les planètes, qui au cours de leurs orbites s’interposent entre nous
    et les étoiles sources. Puisque la terre avance sur son orbite, à la fin de l’année la
    terre aura été exposée tour à tour à tous les secteurs du firmament qui borde le
    système solaire. La signature énergétique des constellations sera généralement
    stable sur de très longues périodes. Les constellations auxquelles la terre est
    exposée sont toujours les mêmes pour une période donnée de l’an, mais puisque les
    planètes, le soleil et la lune circulent aussi dans le firmament, il arrive qu’elles
    croisent une constellation au même moment que la terre.
    Ce passage appelé alignement ou occultation, dont la durée est variable de quelques
    heures pour la lune à plusieurs semaines pour les planètes aux orbites extérieures
    comme Neptune, occasionnera des fluctuations dans la distribution en amplifiant ou
    en altérant le rayonnement en direction du soleil et de la terre. Suivant la ronde de
    tous les corps du système solaire devant toutes les constellations, la terre était
    exposée à une symphonie lumineuse unique qui n’allait se répéter que dans quelques
    milliers d’années.
    L’éther n’est pas constant et les variations altérant cette force furent comparées à
    celles affectant le son dans l’air, telle la musique et appelés de ce fait la Voix de
    Dieu, une nomination qui persiste encore aujourd’hui dans les contrats légaux sous
    le nom de « causes de Dieu », identifiant l’impossibilité de remplir les termes d’un
    contrat, pour des causes hors de contrôle, comme le climat par exemple

    Les variations de la voix de Dieu étaient visibles partout, dans toutes ses créations.
    L’éther, c’est « l’Éter-nel »
    Dieu
    Dieu – Dei – Deo – Deis – Des – Dis – Dix.

    alors préparez vous et ce dans tous les domaines

    l’espagne devrait être moins » touchée »

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  2. Ce texte de Shakespeare est absolument magnifique. Je suis profondément persuadée que la musique est un art sacré qui rententit sur tout être vivant, et même sur toutes choses, et d’ailleurs, cela a été démontré par un japonais, à travers la façon dont cristallise l’eau sous l’effet de différents sons. On peut fermer les yeux sur la laideur, mais on ne peut se garder des sons, même avec des boules quies, car à mon avis, ils retentissent sur nous, même si nous ne les percevons pas avec nos oreilles, l’eau dont nous sommes faits, nos cellules le ressentent. Depuis le sein de leur mère, les enfants d’aujourd’hui entendent des sons mécaniques agressifs et de la musique de merde qui font cristalliser l’eau de travers, qui traumatisent jusqu’à la matière dont nous sommes constitués, comment grandirions-nous de façon normale? La nature est elle-même symphonique, j’en ai eu la révélation, un jour que je ramassais du bois dans une pinède, et j’étais tombée en prière, et j’avais vu la pinède revêtir une beauté d’une intensité croissante, ou plutôt, j’avais vu la pinède telle que nous ne savons plus la voir. Les animaux dansent. Les vaches russes suivaient le bouvier qui jouait correctement l’air dont elles avaient l’habitude. Tous les gens qui se tournent vers la musique organique, cosmique, spirituelle, bénéfique changent du tout au tout. Lorsque je joue d’un instrument normal des airs traditionnels, tout s’organise autour de moi, tout respire d’un autre souffle et pourtant, je suis loin d’être virtuose, mais le monde reconnait quelque chose qui vibre avec lui et le restaure, tandis que la radio du voisin traumatise tout son environnement, et fusille ses derniers neurones. La musique est une thérapie, et c’est une prière en soi, comme la peinture d’icônes, et comme la poésie.

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