Christian Darlot (CNRS, contributeur ici et sur lesakerfrancophone.fr) : « la période gaulliste, ce ne fut pas le paradis, et la Constitution aurait pu être plus équilibrée et moins circonstancielle. L’excès de pouvoir du Président est cependant dû à la violation de l’esprit des institutions, surtout depuis Chirac et Jospin. Mais le gaullisme défendait la souveraineté et l’indépendance nationales, dont la quasi-disparition est la cause de la ruine en cours. À ce propos, les tyrans de Bruxelles nous préparent un coup d’Etat pour l’été. Ils argueront des guerres en cours pour tenter d’instaurer une fédération dont les feus Etats ne seront plus que des provinces. Ainsi, l’Europe tomberait sous la coupe de l’empire financier, et pour très longtemps. Un régime réellement fasciste serait institué et un coup d’accélérateur donné à la dépopulation européenne et à l’immigration de remplacement. Nous devons nous préparer à protester. Mais combien de gens se remueront-ils ? » Christian joue les prolongations ici sur les oligarchies – lisez.

Puisque tu as mis un passage sur ton blogue (merci) , voici le complément, tiré d’un article sur le 11 septembre. Après Chirac et Jospin, la dégradation est allée de mal en pis. 

CD

L’empire du mensonge est celui de la finance. Par les participations croisées à leur capital, les firmes supranationales, industrielles et financières, sont intégrées en réseaux mondiaux. Leurs décisions visent la maximisation du profit, quelles qu’en soient les conséquences, et la rivalité les y contraint. Leurs budgets sont comparables à ceux d’un État moyen. [1] Elles entretiennent des services d’analyse, de programme et d’action, mènent leur propre politique [2] et influencent les gouvernements, au point à présent de choisir les candidats présentés aux électeurs et de changer à leur gré le résultat des élections. Les dirigeants les plus puissants se concertent, puis donnent force publicité aux desseins prétendument généreux exposés par leurs représentants à Davos, au Bilderberg ou au G7. [3] Une apparence de débat couvre les arrangements, et les décisions sont dictées aux institutions supranationales comme l’OMS ou l’Union Européenne, qui les imposent aux États et ceux-ci aux citoyens.

 L’oligarchie mondiale n’est évidemment pas coiffée par une « coupole » centrale dirigée par le capo dei capi omniscient, dont les ordres seraient inexorablement appliqués. Les personnes, les firmes, les États, ont de multiples intérêts pratiques ou idéologiques, parfois convergents, souvent divergents. Dans ces vastes réseaux de complicités et de duplicités, conflits et ententes alternent, et quelquefois de véritables complots se trament, comme lorsque deux banques s’entendent pour pousser une rivale à la faillite, se partager ses dépouilles, et déclencher une crise permettant de rafler des actifs financiers ou réels. Tantôt adversaires, tantôt alliés, les rivaux coopèrent pour de grands projets, comme l’illustre l’aggravation délibérée de l’épidémie de Covid [4] : quelles que soient l’origine du virus à la mode et sa dangerosité pour les personnes faibles, il a permis d’endetter les États et de donner aux grandes firmes des milliards créés sans contrepartie par les banques centrales qu’elles dirigent. Il sert de prétexte aux dangereux vaxxins et au contrôle social nécessaire à la « Grande Réinitialisation ». [5]

 Malgré leurs conflits, les factions oligarchiques s’unissent dans leur volonté de dominer les peuples. Les attentats sous faux drapeau, les tensions internationales et les guerres, en Ukraine et au Proche-Orient, participent à leurs stratégies. Comprendre leurs desseins et leurs méthodes est indispensable pour nous libérer.

 Libérons-nous !


[1] BlackRock gère la plus grande masse mondiale d’actifs financiers, presque 9000 milliards de dollars. Par comparaison, le budget de la France (flux) est d’environ 600 milliards d’euros.

[2] Le Danemark a récemment nommé un ambassadeur auprès d’une firme supranationale.

[3] Les GAFAMs sont les Ministères de la Vérité.

[4] En France, l’examen des statistiques de mortalité conduit à diviser par au moins cinq le nombre avancé par les dirigeants de « 100 000 morts » dus au Covid. Plus qu’une épidémie de grippe, le Covid fut une épidémie de refus de soin, de tests non valides et d’injections de produits mortels. Ces faits furent dénoncés par maintes personnes, dont Luc Montagnier, Laurent Toubiana, Pascal Sacré, Nicole Delépine,Christian Perronne, Martine Wonner, Alexandra Henrion-Caude,Reiner Fuellmich, Pierre Chaillot, et d’autres valeureux résistants. Parmi de nombreuses références :

https://www.youtube.com/watch?v=MLMGnfeu_zk ; https://odysee.com/@MartineWonner:b/actu-de-la-semaine-et-invitee-christine-cotton:3 ; https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes-societe-sante/belgique-masques-et-confusion-entre-tests-positifs-dits-cas-et ;

Les vaxxins sont beaucoup plus dangereux que la maladie, et feront mourir pendant longtemps.

[5] L’apôtre du Great Reset, l’inénarrable Klaus Schwab dans son costume de franc-maçon interplanétaire, illustre jusqu’à la caricature l’hubris des dirigeants décidés à imposer leur volonté aux peuples. L’étonnant livre qu’il a publié avec Thierry Malleret, COVID-19 : La Grande Réinitialisation, sonne comme un aveu.

Schwab Family Values

À intercaler si possible entre les deux autres :

Après le coup d’ État aux États-Unis le 11 septembre 2001, un autre coup d’État eut lieu en 2005, en France cette fois : l’AVC de Chirac fut l’occasion du retour de Sarközy au Gouvernement [1] puis de sa promotion à la Présidence. [2]

La France a depuis perdu toute indépendance. En résultèrent successivement le traité de Lisbonne, la vente de réserves d’or, la soumission de la France au commandement de l’OTAN, l’envoi de militaires en Irak et en Afghanistan, la participation aux agressions contre la Libye et la Syrie, contraires au Droit international et aux intérêts de la France.

Les Présidents de la République Française sont désormais des larbins de l’oligarchie mondialiste, choisis et promus par leurs maîtres. La soumission s’est aggravée depuis 2017. Le freluquet qui feint de diriger est un gauleiter en escarpins. Il applique les ordres reçus : vente à la découpe de l’industrie française, ruine de l’agriculture, répression violente des opposants par la police et la magistrature aux ordres, instauration d’un régime tyrannique, complicité dans la covidinguerie, approbation du pacte migrationniste, achat ruineux de titres de la dette étasunienne, aide active au régime installé en Ukraine par le coup d’État de 2014, et à présent adhésion servile aux sanctions contre la Russie et soutien à l’expansionnisme génocidaire israélien.


[1] Honnête homme, il ne s’est pas caché d’être un agent étasunien, recruté à quinze ans par Wisner Jr. Son fils fut élève-officier d’une école militaire… mais pas de Saint-Cyr : de West Point ! Son père Pal Sarközy, hongrois naturalisé français, déclara à des journalistes : « Si mon fils avait été Président des États-Unis, j’aurais été vraiment fier. »

[2] En 2007, toute la presse promut Ségolène Royal comme la brêle qui se ferait battre. Ce battage publicitaire pour la perdante désignée préfigura l’encensement en 2017 du gagnant choisi par l’oligarchie mondialiste.

https://numidia-liberum.blogspot.com/2024/05/la-commission-europeenne-de-von-der.html

https://lesakerfrancophone.fr/watzlawick-et-le-rejet-du-pere-dans-le-monde-americain-occidental

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