Australie prison modèle et cinglée : 2 ans de prison et 90 000 dollars d’amende pour non-port de masque. Dans le métro parisien, la police tabasse un réfractaire et les témoins filment. Résumons-nous : il y a les fous (sélectionnés par le pouvoir mondialiste depuis trois générations) et les dressés. Les Anglo-saxons ont toujours été des dressés. Le politiquement correct a fait le reste – et le LGBTQ, la désexualisation engendrant un instinct de mort (voyez mes textes sur Freud qui l’avait brillamment décrit). La vie devant l’écran, le smartphone ou la télé ont créé une humanité irréaliste, qui a du mal à réaliser ce qui lui arrive aujourd’hui. Pour elle tout est show, mais son cœur est froid. Freud : « Les transformations psychiques qui accompagnent le phénomène de la culture consistent en une éviction progressive des fins instinctives, jointe à une limitation des réactions impulsives. Cela conduira à l’extinction du genre humain. »

Sigmund Freud politiquement incorrect (Nicolas Bonnal)

Sigmund Freud incorrect ? Dans son petit texte sur la guerre, voici ce que le vieux sage viennois écrit sur la culture :

« Et voici ce que j’ajoute : depuis des temps immémoriaux, l’humanité subit le phénomène du développement de la culture (d’aucuns préfèrent, je le sais, user ici du terme de civilisation.) C’est à ce phénomène que nous devons le meilleur de ce dont nous sommes faits et une bonne part de ce dont nous souffrons. Ses causes et ses origines sont obscures, son aboutissement est incertain, et quelques-uns de ses caractères sont aisément discernables. »

Voici les conséquences de ce développement culturel si nocif à certains égards, et auxquelles nos élites actuelles se consacrent grandement :

 « Peut-être conduit-il à l’extinction du genre humain, car il nuit par plus d’un côté à la fonction sexuelle, et actuellement déjà les races incultes et les couches arriérées de la population s’accroissent dans de plus fortes proportions que les catégories raffinées. »

Vous avez bien lu : les races incultes et les couches arriérées de la population qui s’accroissent plus que les autres. Dans son essai décalé sur Freud, le penseur amateur Michel Onfray avait indiqué que Freud aimait le césarisme autoritaire au point d’envoyer un exemplaire dédicacé d’un sien bouquin à Mussolini !

On sait que Nietzsche a parlé de l’Eglise médiévale comme d’une ménagerie (c’est dans le Crépuscule des idoles). Voici ce que dit Freud, lui :

« Peut-être aussi ce phénomène est-il à mettre en parallèle avec la domestication de certaines espèces animales ; il est indéniable qu’il entraîne des modifications physiques ; on ne s’est pas encore familiarisé avec l’idée que le développement de la culture puisse être un phénomène organique de cet ordre. »

Les modifications physiques on les connaît : la mollesse, l’absence de résistance, l’obésité, la lâcheté qui va avec. Tout cela se nommera humanitarisme et n’empêchera d’ailleurs pas les guerres.

Mais Freud a compris que nous étions arrivés au bout du processus de la civilisation. Et cela donne :

« On ajoutera en outre que la guerre, sous sa forme actuelle, ne donne plus aucune occasion de manifester l’antique idéal d’héroïsme et que la guerre de demain, par suite du perfectionnement des engins de destruction, équivaudrait à l’extermination de l’un des adversaires, ou peut-être même des deux ».

On connait le chant XI de l’Arioste sur effets de la poudre recensé ici, auquel je reviendrai toujours, n’en déplaise à certains commentateurs. La liquidation de l’idéal guerrier comme de l’idéal courtois ou de l’idéal chevaleresque a sonné le glas de l’humanité (de l’humanité au sens Platon-Villard de Honnecourt-Machaut, pas de l’humanité au sens Obama-Gaga-surgelés Picard), et cela dès la fin du mal nommé Moyen Age.

Et Freud encore sur notre ramollissement général, sur notre désensibilisation universelle :

« Les transformations psychiques qui accompagnent le phénomène de la culture, sont évidentes et indubitables. Elles consistent en une éviction progressive des fins instinctives, jointe à une limitation des réactions impulsives. Des sensations qui, pour nos ancêtres, étaient chargées de plaisir nous sont devenues indifférentes et même intolérables ; il y a des raisons organiques à la transformation qu’ont subie nos aspirations éthiques et esthétiques. »

Dans son Malaise dans la civilisation, il écrivait ceci, que nous avons utilisé pour interpréter la féline de Tourneur, le film-phare des années quarante :

« Si la civilisation impose d’aussi lourds sacrifices, non seulement à la sexualité mais encore à l’agressivité, nous comprenons mieux qu’il soit si difficile à l’homme d’y trouver son bonheur.»

http://www.dedefensa.org/article/sigmund-freud-politiquement-incorrect

4 réflexions sur « Australie prison modèle et cinglée : 2 ans de prison et 90 000 dollars d’amende pour non-port de masque. Dans le métro parisien, la police tabasse un réfractaire et les témoins filment. Résumons-nous : il y a les fous (sélectionnés par le pouvoir mondialiste depuis trois générations) et les dressés. Les Anglo-saxons ont toujours été des dressés. Le politiquement correct a fait le reste – et le LGBTQ, la désexualisation engendrant un instinct de mort (voyez mes textes sur Freud qui l’avait brillamment décrit). La vie devant l’écran, le smartphone ou la télé ont créé une humanité irréaliste, qui a du mal à réaliser ce qui lui arrive aujourd’hui. Pour elle tout est show, mais son cœur est froid. Freud : « Les transformations psychiques qui accompagnent le phénomène de la culture consistent en une éviction progressive des fins instinctives, jointe à une limitation des réactions impulsives. Cela conduira à l’extinction du genre humain. » »

  1. A reblogué ceci sur La vérité est ailleurset a ajouté:
    C’est effrayant ! La violence des FDO dans le métro face à un passager qui avait juste baissé son masque pour respirer, c’est inadmissible, la jeune femme courageuse qui veut le défendre, UNE FEMME PAS LES HOMMES DE LA RAME, ET L’UTILISATION DE LACRYMOGÈNES SUR LES PERSONNES EN DISENT LONG SUR CE QUI NOUS ATTEND! A QUAND LES CAMPS !??

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