Les rares députés rétifs privés de vote à Bruxelles ou en Lettonie. Une enseignante virée pour avoir retiré son masque en classe. Oubliez les optimistes (Macron recule !) et lisez la préface de notre livre le plus vendu : … « Le recul de la culture, le déclin de la langue, l’explosion du consumérisme et la manie des marques,  la progression des actualités en bandeau ont laminé les oppositions et conditionné tout le monde ; et la guerre des vaccins se produit alors que le virus, qui n’existe que dans les médias et ne tue plus à l’hôpital, peut se faire oublier. Mais moins il tue, plus on se vaccine, et l’aveuglement du citoyen enthousiaste fait le reste, n’en déplaise aux antisystèmes auto-hypnotisés par les storytelling de leur résistance étique…il est temps de laisser l’initiative au désordre des mots (Mallarmé) face à l’ordre établi. » Mais rappel : « les masses sont rouillées (Laforgue)… »

Ce recueil fait suite à Coronavirus et servitude volontaire. Il est aussi vendu à prix coûtant. Le premier recueil évoquait masques et confinement ; celui-là évoque la guerre des vaccins livrée par le système contre la population française et occidentale. Comme d’habitude nos recueils mêlent le passé au présent, puisque nous croyons malheureusement au présent permanent. Basé sur la science et la démocratie (Poe), basé aussi sur une démocratie bavarde athénienne qui avait dégénéré en ochlocratie (Platon, Théophraste), leur monde moderne n’a rien à nous apprendre depuis Edgar Poe et Tocqueville avec une opinion formatée depuis 200 ans, qui accepte tout et gobe tout, même la merde (Léon Bloy). Le recul de la culture, le déclin de la langue, l’explosion du consumérisme et la manie des marques,  la progression des actualités en bandeau ont laminé les oppositions et conditionné tout le monde ; et la guerre des vaccins se produit alors que le virus, qui n’existe que dans les médias (Lucien Cerise) et ne tue plus à l’hôpital, peut se faire oublier. Mais moins il tue, plus on se vaccine, et l’aveuglement du citoyen parfaitement enthousiaste (Louis-Ferdinand Céline) fait le reste, n’en déplaise aux antisystèmes auto-hypnotisés par les storytelling de leur résistance étique.

L’accélération que nous vivons actuellement (le Grand Reset) est, elle, liée à un effondrement des ressources et même des combustibles fossiles. Mal gérée, elle mène cette accélération à une dépopulation dont nous montrons qu’elle fascine certaines élites depuis des siècles maintenant. Nietzsche a tancé dans son Zarathoustra  l’Etat et son homme superflu, superflu dont il veut se débarrasser maintenant pour complaire aux puissants. Nietzsche avait aussi compris que chez le petit peuple l’appétit vient en mangeant (d’où les révolutions) ; et qu’en le lui coupant, cet appétit (ce qui est fait), on n’aurait plus de problème. Cette bonne conduite du peuple a précipité le zéro de conduite des élites politiques et médiatiques, et même médicales. Mais on récolte ce qu’on sème. Pour certains de nos amis et collaborateurs cités ici, le Grand Reset n’est que le masque projeté sur notre effondrement énergétique ; leurs conséquences seront catastrophiques par conséquent.

En France le pouvoir a décidé de diaboliser les non vaccinés, qui finiront par être mis au ban de la société ; les vaccinés seront les seuls à avoir le droit de manger (mais pour combien de temps encore ?). Cela aussi aura des conséquences relevant de la science-fiction (voir le livre de Tetyana Bonnal sur Philip K. Dick sur ce sujet) ou des pages misérables de notre histoire humaine. La destruction de la logique, déjà visible au temps de Guy Debord, sera passée par là.

Les nombreux textes de ce recueil se chevauchent, se contredisent ou se répètent. C’est voulu et il est temps de laisser l’initiative au désordre des mots (Mallarmé) face à l’ordre établi.

https://planetes360.fr/video-comment-influencer-la-masse-grace-a-lingenierie-sociale-explication-de-pamela-obertan-enseignante-chercheuse-en-science-politique-a-luniversite-des-antilles/

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