Vaccination obligatoire et « démon germanique » (Michel Meyer) : l’Europe woke et nazie de Schwab-Leyen-Stolz jette le masque. On verra si la masse réagira à cette Führer de vivre teutonique. Extraits ici du philosophe juif Gunther Anders sur les moyens oligarchiques de faire plier les opinions publiques. Anders évoque dès les années 50 l’obsolescence humaine voulue par nos adeptes. Merci à l’amiral G. pour cet envoi. Selon Florian 36% des Français seulement aiment encore leur Europe au pas de l’oie. On est dans une ambiance à la Tolkien avec leur Mordor délirant contre nos restes de liberté. « L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un produit, un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau (Anders). » De retour de Paris, notre lecteur roumain Horatiu évoque une nécropole, un sépulcre miséreux en 200 mots admirables. Priez fort.

C’est en 1956 que le philosophe juif Allemand Günther Anders écrivit cette réflexion prémonitoire :

« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut surtout pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes archaïques comme celles d’Hitler sont nettement dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées…

Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique le niveau & la qualité de l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations matérielles, médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste..… que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie.

Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements abrutissant, flattant toujours l’émotionnel, l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon avec un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de s’interroger, penser, réfléchir. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme anesthésiant social, il n’y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité, de la consommation deviennent le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur (qu’il faudra entretenir) sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions matérielles nécessaires au bonheur.

L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un produit, un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité, son esprit critique est bon socialement, ce qui risquerait de l’éveiller doit être combattu, ridiculisé, étouffé… Toute doctrine remettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels » .

Günther Anders « l’obsolescence de l’homme » 1956″

https://www.zerohedge.com/covid-19/germany-imposes-strict-curbs-unvaccinated-limits-gatherings-will-mandate-covid-shots

http://lachute.over-blog.com/2021/12/retour-de-l-allemagne-hitlerienne-wokiste.html

https://www.egaliteetreconciliation.fr/Allemagne-vers-l-obligation-vaccinale-pour-nous-proteger-tous-66370.html

Horatiu décrit Paris : Paris ferme boutique.  Beaucoup de restos déjà fermés en plein centre, quartier de l’Opéra, St Germain, etc., d’autres quasi-vides aux heures de pointe, où le personnel ne demande même pas le passe, probablement sentant les conséquences. Dans les bistros atmosphère cool, pas de masques et des chuchotements a table, atmosphère confuse en attendant les nouvelles restrictions. Dans la rue des boutiques vides, deux personnes sur trois portent un masque alors que ce n’est pas obligatoire. Dans le métro, même pas besoin de contrôle, tous masques jusqu’ aux yeux, pas un seul fraudeur, les gens ne se regardent plus, alors, je n’ai pas trouvé de regard frondeur. Avec le froid, les rues sales comme je ne les ai jamais vues et les nombreuses affiches de fermeture définitive déjà en place depuis novembre, j’ai trouvé à Paris cette fois-ci une atmosphère désolante. La musique de fond est monotone et composée de deux notes, vaccination obligatoire et Zemmour. Le seul endroit où on fait la queue, des grandes queues, les centres de vaccination, peut-être pour se faire tester, les gens les yeux dans leurs smartphones semblent tristes et résignés…

Site de Horatiu :

http://www.sens.ro/

3 réflexions sur « Vaccination obligatoire et « démon germanique » (Michel Meyer) : l’Europe woke et nazie de Schwab-Leyen-Stolz jette le masque. On verra si la masse réagira à cette Führer de vivre teutonique. Extraits ici du philosophe juif Gunther Anders sur les moyens oligarchiques de faire plier les opinions publiques. Anders évoque dès les années 50 l’obsolescence humaine voulue par nos adeptes. Merci à l’amiral G. pour cet envoi. Selon Florian 36% des Français seulement aiment encore leur Europe au pas de l’oie. On est dans une ambiance à la Tolkien avec leur Mordor délirant contre nos restes de liberté. « L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un produit, un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau (Anders). » De retour de Paris, notre lecteur roumain Horatiu évoque une nécropole, un sépulcre miséreux en 200 mots admirables. Priez fort. »

  1. « Vivre dans les sociétés occidentales, est-ce vivre à l’hospice? Un hospice sagement géré et peuplé de malades sous sédatifs, qui se conduisent le plus docilement du monde? Paisibles et laborieux, ils sont choyés par l’Administration: dans l’Hospice, l’ennui est la règle. L' »agitation » est le crime le plus grave qu’on puisse y commettre », Edward Limonov, Le Grand Hospice Occidental, 1993.

    Cet ouvrage – et quel ouvrage! – trône en bonne place dans ma bibliothèque aux côtés, notamment, des 2 tomes de « L’Obsolescence de l’homme », de Gunther Anders (pour l’anecdote, 1e mari d’Hannah Arendt).

    Aimé par 1 personne

Laisser un commentaire