Patrice Gibertie (extraordinaire statisticien de la Cause) remarque que les journalistes choisissent leurs morts : les morts et handicapés du vaccin cela ne compte pas ; les morts du climat sont multipliés par un million. C’est ce que Noam Chomsky appelle dans sa manufacture du consentement les Unworthy Victims, les victimes qui ne comptent pas. Exemple : 600 000 morts de faim en Allemagne via le blocus britannique durant la 1ère GM. Mais qui le sait à part le ‘complotiste’ – ou mon ami l’historien Ralph Raico ? De la même manière les morts de faim et de froid de cet hiver et du Grand Reset ne compteront pas, VOUS POUVEZ LEUR FAIRE CONFIANCE. 300 000 vues pour le ‘génie atypique’ qui en emmerde tant certains – et en marque et instruit beaucoup plus. Brillante interview de la doctoresse Pinsolle sur la monstruosité vaccinale.

https://mises.org/profile/ralph-raico

https://artofuss.blog/2022/09/30/lamericanisation-et-notre-nullite-terminale-par-nicolas-bonnal/

https://lesakerfrancophone.fr/oswald-spengler-et-la-collapsologie-en-1931

https://chomsky.info/consent01/

https://lesakerfrancophone.fr/frederic-bernays-et-louis-ferdinand-celine-face-au-conditionnement-moderne

Une réflexion sur « Patrice Gibertie (extraordinaire statisticien de la Cause) remarque que les journalistes choisissent leurs morts : les morts et handicapés du vaccin cela ne compte pas ; les morts du climat sont multipliés par un million. C’est ce que Noam Chomsky appelle dans sa manufacture du consentement les Unworthy Victims, les victimes qui ne comptent pas. Exemple : 600 000 morts de faim en Allemagne via le blocus britannique durant la 1ère GM. Mais qui le sait à part le ‘complotiste’ – ou mon ami l’historien Ralph Raico ? De la même manière les morts de faim et de froid de cet hiver et du Grand Reset ne compteront pas, VOUS POUVEZ LEUR FAIRE CONFIANCE. 300 000 vues pour le ‘génie atypique’ qui en emmerde tant certains – et en marque et instruit beaucoup plus. Brillante interview de la doctoresse Pinsolle sur la monstruosité vaccinale. »

  1. Matthieu VIII, 21 et 22 : « Un autre, d’entre les disciples, lui dit: Seigneur, permets-moi d’aller d’abord ensevelir mon père. Mais Jésus lui répondit: Suis-moi, et laisse les morts ensevelir leurs morts.

    La Bhagavad Gîtâ II :
    « 11. Tu t’apitoies là où la pitié n’a que faire, et tu prétends parler raison ! Mais les sages ne s’apitoient ni sur qui meurt ni sur qui vit.

    12. Jamais temps où nous n’ayons existé, moi comme toi, comme tous ces princes ; jamais, dans l’avenir ne viendra le jour où les uns et les autres nous n’existions pas.

    13. L’âme, dans son corps présent, traverse l’enfance, la jeunesse, la vieillesse : après celui-ci elle revêtira de même d’autres corps. Le sage ne s’y trompe pas.

    14. Les impressions des sens, ô fils de Kuntî, chaud et froid, plaisir et peine, vont et viennent, elles sont fugitives ; il n’est, ô Bhârata, que de les supporter.

    15. Car l’homme qu’elles ne troublent pas, ô Taureau des hommes, l’homme ferme, indifférent au plaisir et à la peine, celui-là est mûr pour l’immortalité.

    16. Pas d’existence pour le néant, pas de destruction pour l’être. De l’un à l’autre, le philosophe sait que la barrière est infranchissable.

    17. Indestructible, sache-le, est la trame de cet univers ; c’est l’Impérissable ; la détruire n’est au pouvoir de personne.

    18. Les corps finissent ; l’âme qui s’y enveloppe est éternelle, indestructible, infinie. Combats donc, ô Bhârata !

    19. Croire que l’un tue, penser que l’autre est tué, c’est également se tromper ; ni l’un ne tue, ni l’autre n’est tué.

    20. Jamais de naissance, jamais de mort ; personne n’a commencé, ni ne cessera d’être ; sans commencement et sans fin, éternel, l’Ancien[1] n’est pas frappé quand le corps est frappé.

    21. Celui qui le connaît pour indestructible, éternel, sans commencement et impérissable, comment cet homme, ô fils de Pṛithâ, peut-il imaginer qu’il fait tuer, qu’il tue ?

    22. Comme un homme dépouille des vêtements usés pour en prendre de neufs, ainsi l’âme, dépouillant ses corps usés, s’unit à d’autres, nouveaux.

    23. Le fer ne la blesse pas plus que le feu ne la brûle, ni l’eau ne la mouille, ni le vent ne la dessèche.

    24. Elle ne peut être ni blessée, ni brûlée, ni mouillée, ni desséchée ; permanente, pénétrant tout, stable, inébranlable, elle est éternelle.

    25. Insaisissable aux sens, elle ne peut être imaginée et n’est sujette à aucun changement. La connaissant telle, tu ne saurais concevoir aucune pitié.

    26. Que si, même, tu pensais qu’elle naît ou meurt indéfiniment, même alors tu ne devrais concevoir aucune pitié pour elle.

    27. Car ce qui est né est assuré de mourir et ce qui est mort, sûr de naître ; en face de l’inéluctable, il n’y a pas de place pour la pitié.

    28. Les êtres, ô Bhârâta, nous échappent dans leur origine ; perceptibles au cours de leur carrière, ils nous échappent de nouveau dans leur fin. Qu’y peuvent les lamentations ?

    29. C’est merveille que personne la[2] découvre ; merveille aussi que quelqu’un l’enseigne, merveille qu’un autre en entende la révélation ; et, même après avoir entendu, personne ne la connaît.

    30. Dans tout corps, cette âme, ô Bhârata, demeure, éternellement intangible ; renonce donc à t’apitoyer sur l’universelle destinée.

    31. Considère aussi ton devoir personnel et tu ne reculeras pas ; car rien pour le Kshatriya ne passe avant un combat légitime.

    32. D’où qu’il lui soit offert, il ouvre pour lui là porte du ciel ; trop heureux sont les Kshatriyas, ô fils de Pṛithâ, d’accepter un pareil combat.

    33. Te refuser à cette lutte légitime, ce serait forfaire à ton devoir, à l’honneur et tomber dans le péché.

    34. L’univers racontera ton irréparable honte ; la honte est pour l’homme d’honneur pire que la mort.

    35. Les guerriers penseront que c’est par peur que tu as esquivé la bataille ; et de ceux dont tu avais l’estime, tu encourras le mépris.

    36. Tes ennemis tiendront sur ton compte mille propos insultants ; ils contesteront ta vaillance. Quel malheur plus cruel ?

    37. Mort, tu iras au ciel ; ou vainqueur, tu gouverneras la terre. Relève-toi, ô fils de Kuntî, résolu à combattre.

    38. Considère que plaisir ou souffrance, richesse ou misère, victoire ou défaite se valent. Apprête-toi donc au combat ; de la sorte, tu éviteras le péché. »

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