Chateaubriand (p. 210) : https://www.ebooksgratuits.com/ebooksfrance/chateaubriand_memoires_outre-tombe.pdf
https://changera3.blogspot.com/2022/04/un-monde-controle-par-les-reptiliens.html
https://fr.wikipedia.org/wiki/Parabole_de_la_paille_et_de_la_poutre
La réalité n’a plus, depuis longtemps, la moindre importance. Quant à l’électeur (correction : l’approuveur), il n’est même plus un alibi pour le pouvoir qui n’a plus besoin d’une caution. Le dément élyséen, abusant d’un mensonger état d’urgence permanent renouvelable à l’infini, a *déjà* fait son coup d’état : les chambres d’enregistrement ne sont plus là que pour donner des prébendes à ses clients et obligés (le numéro du « Il n’aura pas la majorité absolue », on l’a déjà servi avec les résultats qu’on sait). Nul ne s’est dressé efficacement, nul ne se dresse, nul ne se dressera contre le tyran. On en aura confirmation avec le triple Géryon davosien de l’extermination présentée comme réinitialisation. Nous tomberons sous les coups des trois corps du géant monstrueux : les délires covidistes, les folies écologistes, et les contraintes d’une guerre dépourvue de sens.
Et tout cela passera comme jadis lettre à la poste. Les populations kronnes et complices viennent de, et tiennent à le démontrer.
Tout ce que qu’on peut désormais espérer, faute de forêts jungériennes où se réfugier, c’est de partir comme le voulait César, rapidement et soudainement, dans les premiers. L’avenir s’annonce atroce — voir ce qui se passe à Shanghaï (yep, tréma, ayant toujours entendu la prononciation changaille).
Le miracle serait l’apocalypse nucléaire universelle, qui aurait le mérite de remettre les compteurs à zéro pour tout le monde y compris — on l’espère — pour Schwab et ses amis. J’imagine bien ce kron d’Harar[abrut]i soupirer au moment de crever, « Je me sens devenir un dieu » (fine allusion culturelle).
Puissent ceux qui votent voter pour la kronne quand même. On ne saurait exclure l’hypothèse d’une succession de miracles. Ne comptons ni sur les dieux ni sur le hasard ; eux comptent sur nous.
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Le hasard d’Oz ; c’est le démiurge qui s’amuse ici. Deus est otiosus.
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