Hollywood rend moins bête (suite) – souvent hélas pour rien : Enemy of The State expliquait il y a un quart de siècle les débordements du Deep State et des agences techno-totalitaires qui depuis lors ont pris partout le pouvoir via le contrôle total des médias et des partis politiques prétendument démocratiques – film incompris, pris sur le ton de la galéjade sans doute par la faute de Will Smith. Rappel : la  CIA toujours a dépendu directement de Wall Street avant de créer des gouvernements-puppets type Obama-Biden ou Ursula-Macron-Stolz-Strasbourg. Ils ont accès à des fonds illimités (l’argent imprimé ou créé ex nihilo des banques centrales), achètent ou tuent qui ils veulent (cf. « la proposition que l’on ne peut refuser » du Parrain, parabole sur ce pouvoir satanique planétaire à venir) et organisent la narratif qu’ils veulent. La chasse au carbone après le demi-échec du vaccin est leur prochaine arme de destruction massive.

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«Voyez combien de personnes se placent volontairement en résidence surveillée. » Le Verrouillage Sanitaire n’a pas été improvisé, c’est un Plan mis au point par la Cabale depuis des Décennies pour imposer le Nouvel Ordre Mondial ! » Rappel : dans l’excellent Enemy of the State (mort mystérieuse du réalisateur Tony Scott), le chef de la NSA nous laisse encore un cerveau : aujourd’hui avec nos connexions et nos smartphones ils y ont accès. L’œil ne sera pas dans ta tombe, il sera dans ta tête Caïn.
Hollywood rend moins bête (suite) : le film Demolition man décrivait notre monde dystopique dès 1993. En fait tout va bien sauf que la population est devenue obéissante et techno-dépendante d’un pouvoir eunuque dominé par un brahmane du nom de Cocteau. Ce dernier a besoin de plus de chaos pour exaspérer sa prise de pouvoir et c’est ce qui va causer sa perte. Une poignée de résistants carnivores vit sous terre dans les égouts. En réalité nombre de films hollywoodiens ouvrent ou ouvraient les yeux (cf. le « crew expendable » d’Alien) ou illustraient même les soi-disant théories de la conspiration mais la masse au pop-corn est trop conne pour le comprendre. Revoir le film français Le Prix du danger traîné dans la boue par la critique de gauche (toute critique est de gauche) à sa sortie ; film repris par Hollywood avec Arnold ensuite. Pas besoin de bander les yeux des aveugles.
Quand Hollywood dit la vérité   (Looker, dir. Michael Crichton, 1981) sur l’esclavage télé : « Television…is the most powerful selling medium in the history of mankind. Television can control public opinion more effectively than armies of secret police because television is entirely voluntary. The American government forces our children to attend school. But nobody forces them to watch TV. Americans of all ages submit to television. Television is the American ideal. Persuasion without coercion. Nobody makes us watch. Who could have predicted that a free people would voluntarily spend one fifth of their lives sitting in front of a box with pictures? Fifteen years sitting in prison is punishment. But15 years sitting in front of a television set is entertainment. And the average American now spends more than one and a half years of his life watching television commercials. Fifty minutes every day of his life watching commercials. Now, that’s power. » NDLR : Crichton était ennemi du changement climatique… 
Nicolas Bonnal, penseur atypique et génie authentique

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